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Après les retraits des candidats des Verts et du MoDem
24 février 2017, par
Les retraits du candidat écologiste, Yannick Jadot, et de celui du centre, François Bayrou, pour rallier d’autres candidats mieux placés dans les sondages annoncent une élection présidentielle 2017 à la configuration totalement inédite et incertaine. Bien malin serait le sondeur capable de prévoir le résultat final.
Yannick Jadot, candidat écologiste des Verts, a annoncé hier soir qu’il se retire de l’élection présidentielle 2017 et appelle à soutenir Benoît Hamon du Parti socialiste. Ce choix va être soumis à un vote des adhérents de son parti. La décision de Yannick Jadot se fonde sur des points de convergence avec le programme du candidat socialiste. C’est un événement car depuis 1974, les écologistes ont toujours été présents au premier tour de la présidentielle. Quelques instants plus tard, Jean-Luc Mélenchon s’est dit prêt à rencontrer Benoît Hamon. En France, les appels à une candidature unique de la gauche se multiplient. En effet, le courant social-libéral qui a dirigé le gouvernement socialiste sortant ne sera pas présent, ce qui ouvre la voie à une politique sociale en cas de victoire d’un représentant de l’opposition de gauche au gouvernement. Des collectifs de citoyens pensent qu’une victoire est possible à condition que l’union soit réalisée dès le premier tour.
Pour sa part, le PCF a publié cette semaine un appel soulignant que « nous voulons lors des élections présidentielle et législatives de mai et juin prochains, faire gagner la gauche : une gauche qui reconstruise une grande politique de justice, d’égalité et de paix. Une gauche qui engage une politique de lutte efficace contre le chômage, les inégalités et la pauvreté, de sécurisation de nos vies, de droits nouveaux pour les salariés et les citoyens ». Et de souligner qu’ « il y a quelques mois, cela paraissait irréaliste. Aujourd’hui, la présence au second tour de l’élection présidentielle d’une candidature porteuse de ces combats et la constitution en juin d’une majorité de gauche et écologiste paraissent à nouveau possibles. C’est ce pourquoi nous nous battons depuis un an : nous n’avons pas présenté de candidat communiste à l’élection présidentielle pour le permettre. Nous soutenons Jean-Luc Mélenchon, dont le programme est le plus proche du nôtre, avec cet objectif ». Et d’appeler « les candidats et les forces de gauche à intensifier leurs discussions jusqu’à conclure ensemble un pacte de majorité pour gouverner la France ».
Pour Yannick Jadot, la négociation pourrait être facilitée par un point commun aux candidats du PS et de la France Insoumise. Ils déclarent vouloir fonder une 6e République, où les pouvoirs du président seront bien plus limités pour rééquilibrer le rapport de forces au profit du Parlement et où la proportionnelle permettra à plus de sensibilités d’être représentées dans les assemblées. Dans ces conditions, le rôle du président de la République sera beaucoup moins décisif.
Quelques instants après l’annonce de l’ex-candidat écologiste, Jean-Luc Mélenchon s’est dit prêt à rencontrer Benoît Hamon sans pour autant affirmer qu’il se rallie à une candidature commune. Selon l’Humanité, il a déclaré hier soir sur France 2 que « Devant
« l’onde de guerre généralisée, la violence sociale qui traverse le vieux continent », cette « extrême gravité », « ma réponse n’est pas à l’ancienne, le cartel de partis, les accords d’appareil. Mon pari est le vote d’adhésion ». L’erreur, rajoute le candidat, « c’est 5 ans de quinquennat, le candidat PS est aujourd’hui à la moitié du niveau du candidat de 2012. Il faut convaincre et entrainer, ce n’est pas une affaire de partis ». Jean-Luc Mélenchon a même invité le candidat socialiste à « marcher avec lui » lors du meeting qu’il tiendra le 18 mars à Paris.
La veille, François Bayrou avait déclaré qu’il ne briguerait pas les suffrages des électeurs lors de ce scrutin et qu’il soutient la candidature d’Emmanuel Macron. À titre personnel, François Bayrou a participé aux trois dernières élections présidentielles. De plus, son choix signifie que pour la première fois depuis 1995, les centristes n’auront aucun candidat officiel à l’élection la plus importante en France.
Quant à François Fillon, il peine à réaliser l’unité dans son camp alors qu’il est le candidat unique de la droite.
L’élection présidentielle 2017 présente donc une configuration totalement inédite qui était bien imprévisible voici quelques mois. La préoccupation semble d’être capable d’arriver en seconde position au premier tour derrière Marine Le Pen afin d’être le candidat qui défiera l’extrême droite lors du vote final. Si la chef du FN est placée en tête des sondages, rappelons que les sondeurs ont vu leurs prévisions largement démenties par le résultat des scrutins qui se sont succédés en France ces derniers mois. Aucun n’avait vu venir la défaite dès le premier tour des primaires de Cécile Duflot chez les Verts ou de Nicolas Sarkozy à droite, ainsi que celle de Manuel Valls au second tour de la primaire socialiste.
M.M.
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