
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Élections cantonales : 2ème canton de Saint-André
31 janvier 2011
Si le scrutin de 2004 n’était pas soumis à la parité, c’est avec un plaisir non contenu que le Maire de Saint-André et conseiller général du 2ème canton de la ville, celui du centre-ville, a présenté à la presse celle qui mènera à ses côtés la campagne des Cantonales de mars 2011, Marie-Claude Panon. C’est le premier point abordé avant la présentation de son bilan en regard des engagements de son programme de 2004.
Sur la base des engagements de campagne qui lui ont permis de remporter le suffrage des électeurs en 2004, le maire et conseiller général de Saint-André estime « que beaucoup d’avancées ont été conquises durant ces 7 années de mandat » :
Les assistantes maternelles : au nombre de 60, 115 possibilités d’accueil d’enfants placés sont offertes sur le territoire. La formation des AsMat ainsi que l’amélioration de leurs lieux d’accueil ont été des axes forts de travail afin d’augmenter la qualité de la prestation.
La Petite enfance : les crèches et les jardins d’enfants du secteur ont été rénovés. La création de crèches privées a été accompagnée par le Conseil général. Avec la PMI, nous avons permis aux mères qui placent leurs enfants dans les crèches et les jardins d’enfants d’avoir des couches et du lait gracieusement.
L’éducation : il n’y a pas beaucoup de conseillers généraux qui peuvent se dire qu’ils ont un collège qui a été construit sur leur canton. 17 millions d’euros ont été consacrés à la construction et la livraison du collège Morin en 2007. De manière plus large, 15 millions d’euros ont été budgétés pour l’ensemble des collèges de la ville qui ont par exemple contribué au financement de la réfection de la cour du collège Joseph Bédier, à la sécurisation du collège Mille Roches, à la mise en œuvre d’outils NTIC, au soutien des sections sportives et des projets pédagogiques…
La politique de la ville : 3,8 millions attribués au cours de la mandature à Saint-André dans les domaines du sport, de la culture, du social et de l’environnement afin de soutenir les associations qui œuvrent à la dynamique communale.
Dans le cadre du CAC (Contrat d’aide aux communes) de 2004 à 2007 et du Contrat de coopération communale (C.C.C.) de 2008 à 2010, beaucoup de dossiers, y compris ceux de l’ANRU en cours, ont avancé pour le développement de Saint-André avec des financements conséquents du département.
L’aménagement : si on compare l’état de délabrement dans lequel se trouvait le chemin Morin en 2004 et son état actuel, avec son classement en route départementale, obtenue de haute lutte, et son collège, le bilan y est largement positif.
Il suffit ensuite de regarder l’état des RD sur le canton, le CD48, le CD46, chemin Bras des Chevrettes, chemin Vidot, le chemin Salazie, et personne ne restera insensible au travail qui y a été engagé.
L’Économie : Les grands chantiers d’investissement sur le territoire représentent un soutien non négligeable au monde économique.
L’économie sociale et solidaire, l’insertion, le travail effectué avec l’ANRU (clause d’insertion passée de 5 à 10%), le travail en lien avec la Mission locale pour favoriser l’insertion des jeunes, Mission locale dont je suis le président à titre bénévole, tout comme le Comité de bassin et l’Office de l’eau, auprès desquels ma mission n’est pas rémunérée, le soutien au tissu associatif ont marqué ma mandature.
L’Environnement : Éric Fruteau se félicite de la dimension touristique d’envergure que prend Dioré, Espace naturel sensible, grâce à une association soutenue par le Département dans le cadre de l’Économie sociale et solidaire.
La déchetterie, les bacs jaunes, le tri, le recyclage, l’ENS de Dioré sur Saint André, et bien d’autres dossiers ont avancé.
Le conseiller général rappelle que « malgré les pressions subies », il reste fidèle à son engagement auprès des Saint-Andréens qui était « de ne pas faire le choix du tout incinération ».
Sur un autre dossier, celui de l’assainissement, de grandes avancées ont vu le jour. Sur 2 ans, 20 millions d’euros vont être attribués aux communes pour leurs projets d’eau potable, d’assainissement et de sécurisation de la ressource. « Là aussi, je n’ai pas fui et les résultats sont à la mesure de mon investissement. La STEP, préalable à la construction des logements sociaux, sera également défendue ».
Beaucoup d’autres thématiques, touchant l’aide sociale, l’amélioration de l’habitat, les aides aux agriculteurs, ont été défendues.
Texte et photo Max Carpin
Marie-Claude Panon, le militantisme dans le sang
« Mon nom n’est pas inconnu à Saint-André, je suis issue d’une famille de militants PCR depuis 3 générations », déclare-t-elle. Mes parents m’ont transmis cet esprit d’engagement et je ne pouvais pas ne pas m’intéresser à la politique tôt ou tard. Infirmière à domicile depuis plus de 25 ans sur ce même canton et à Saint-André, je suis un témoin quotidien de la détresse sociale de la population devant des décisions qui pénalisent le plus grand nombre : déremboursement des médicaments, augmentation des mutuelles, entre autres. Je souhaite ainsi être un relais efficace entre les besoins de la population et les compétences du Département, collectivité qui répond bien aux besoins de notre population ».
Éric Fruteau ne tarit pas d’éloges à son égard : « Mon choix s’est porté sur Marie-Claude parce que nous partageons les mêmes valeurs, valeurs d’intégrité, d’honnêteté, des convictions très fortes. Avec elle, j’en suis persuadé, nous continuerons à mener un travail assidu et sans relâche pour défendre les plus démunis sur ce canton. L’engagement politique très fort qu’elle prend aujourd’hui à mes côtés est à la hauteur de Marie-Claude, disponible, fille de militants, petite-fille de Léonce Panon, conseiller de M. Raymond Vergès, alors maire de Saint-André, et je me félicite qu’une telle personnalité, qui ne siège pas au Conseil municipal, qui n’a jamais occupé de fonction élective, vienne apporter sa contribution à la société saint-andréenne et à La Réunion ».
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