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Crise en Europe
25 septembre 2012, par
Cette semaine sera décisive pour l’Espagne qui espère obtenir un plan d’aide et souhaite convaincre les marchés avec son budget pour 2013. Le gouvernement espagnol a annoncé un nouveau plan de réformes et la publication des « stress tests » bancaires. De son côté, le gouvernement grec s’inquiète du départ de la Troïka.
Le déficit grec s’élèverait désormais à 20 milliards d’euros, une estimation réfutée par le Ministère grec des Finances qui a fait part d’un déficit de 13,5 milliards. Les annonces devraient avoir leur portée sur les discussions avec leurs bailleurs de fonds. De son côté, l’Espagne rechigne à demander une aide officielle auprès du Fonds de secours européen, alors que la BCE préfèrerait une demande rapide.
La tension monte en Grèce
Vendredi 21 septembre, la Troïka (Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international), bailleurs de fonds de la Grèce, a annoncé qu’elle allait marquer une pause dans les négociations avec Athènes. « Cette pause de la Troïka n’est pas le signe de problèmes », a affirmé le porte-parole de la Commission chargé des questions économiques. Cette dernière a indiqué qu’elle reviendrait dans une semaine, mais garantit qu’il s’agit d’un « départ programmé ».
L’impatience des représentants de la Troïka face aux lenteurs de la négociation n’est pas une raison, a renchéri une source au Ministère grec des Finances à Athènes, citée par l’“Agence France Presse”. Les autorités grecques sont en mauvaise position, car à la fin des négociations avec la Grèce, la Troïka décidera si le pays recevra une nouvelle tranche d’aide, destinée à lui éviter la faillite.
La Troïka insiste sur une réforme des retraites qui devraient représenter à elles seules près de 40% des dépenses totales de l’État (35 milliards d’euros sur 88 milliards, selon des estimations gouvernementales) en 2012.
Les bailleurs de fonds veulent une coupe dans les dépenses publiques et doutent des économies faites suite aux réformes administratives planifiées par le gouvernement, celles-ci sont chiffrées à 1,5 milliard d’euros.
En plus des coupes budgétaires, Athènes doit trouver 2 milliards d’euros de rentrées fiscales supplémentaires, et une nouvelle taxe exceptionnelle de l’ordre de 150 euros appliquée aux propriétaires fonciers qui louent des logements ou possèdent des baux commerciaux est à l’étude.
Ces mesures sont difficilement acceptées par la population, selon un sondage publié en fin de semaine dernière. Plus de 90% des Grecs estiment que le plan en gestation n’est pas équitable et va être payé par les plus pauvres.
L’Espagne se tourne vers Bruxelles
Madrid négocie actuellement avec Bruxelles un programme de réformes basées sur les recommandations de la Commission européenne. Celui-ci pourrait peut-être servir de base à un mémorandum si l’Espagne décidait d’appeler à l’aide. Mais le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a indiqué vendredi 21 septembre, à Berlin, que « l’Espagne n’a pas besoin d’un plan parce qu’elle fait ce qu’il faut et qu’elle réussira. Ce dont l’Espagne a besoin, c’est de la confiance des marchés financiers ».
Les responsables politiques et économiques européens attendent un nouveau plan de rigueur du gouvernement espagnol. Imposées par Bruxelles, « ces mesures peuvent théoriquement servir de base pour fixer les conditions liées à un programme de renflouement. Mais il faut que ce soit examiné par l’Eurogroupe, où des modifications pourront être demandées. Et puis il faut nécessairement une supervision extérieure », a indiqué une source diplomatique à Bruxelles à l’“Agence France Presse”.
Au-delà de la crise économique, l’Espagne devrait compter sur une instabilité politique avec le vote par les 135 députés du Parlement sur le droit de la Catalogne de décider de son avenir. L’Espagne voit profiler les partisans de l’indépendance de la Catalogne qui, contrairement au Québec, ne perçoit pas ses propres impôts et doit compter sur Madrid pour combler ses besoins en période de déficit. La Catalogne est l’une des régions les plus riches d’Espagne, mais dépourvue de ses propres impôts.
Les autorités locales ont été forcées de quémander 5 milliards de dollars supplémentaires au gouvernement central, alors que près de 20 milliards de dollars par an seraient transférés de Barcelone vers Madrid, et ce, sans contrepartie, a expliqué l’économiste et professeure à l’Université de Barcelone, Elisenda Paluzie, à Radio-Canada.
Céline Tabou
L’Italie doit continuer ses « efforts de réforme »
Le Secrétaire général de l’OCDE, Angel Gurría, a pressé « l’Italie de ne pas relâcher ses efforts de réforme » lors d’une conférence organisée conjointement par l’OCDE et le gouvernement italien à Rome. Pour ce dernier, « les réformes adoptées ont été courageuses, ambitieuses et de vaste portée », et il est, selon lui, « fondamental que les réformes soient résolument mises en œuvre et poursuivies. Si l’Italie parvient à relever ce défi, ce sera un résultat décisif, non seulement pour le peuple italien, mais pour l’Europe tout entière ». Les réformes pourraient augmenter de 4% le PIB au cours de la prochaine décennie, selon l’OCDE. L’organisation préconise de redresser la compétitivité italienne en menant « l’action sur trois fronts : accroître la productivité, lier la hausse des salaires à celle de la productivité et alléger la charge fiscale sur les revenus du travail, tout en s’assurant de la neutralité fiscale d’une telle mesure ».
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