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Vers un service de prophylaxie pérenne
19 mai 2006
État, collectivités et Association des mairies ont paraphé hier une déclaration d’intention qui inscrit la coordination de ces acteurs dans la lutte antivectorielle et dessine l’orientation d’un renforcement de coopération, de concertation et d’efficacité. Pour parvenir à un service de prophylaxie pérenne et efficace, les collectivités, sans remettre en cause leur engagement, soutiennent que La Réunion a besoin de moyens adaptés.
À la veille de l’épidémie, le service de prophylaxie en place à La Réunion (une coquille vide) n’était pas à même de parer la menace. Alors que cette compétence doit être transférée au Département, sa présidente, Nassimah Dindar, demande au gouvernement des moyens financiers, humains et matériels à même de constituer un service de prophylaxie "organisé, structuré, pérenne et ouvert sur la zone".
Pérenniser les emplois
L’objectif de cette déclaration est de construire et de conserver un dispositif opérationnel de lutte contre le chikungunya. Pour cela, il faut maintenir la vigilance, coordonner les actions au sein d’un comité qui fixera les modalités de ce partenariat renforcé. Mais il faut aussi s’orienter vers un dispositif pérenne et pour cela, comme le soulignait le chef du gouvernement hier, "trouver le cadre juridique le plus pertinent", ce qui devrait selon lui intervenir au retour de l’été austral.
"Il faudra se poser la question de l’exercice des compétences le moment venu dans un esprit de responsabilités". Attendu que La Réunion est dans une zone géographique particulièrement exposée aux risques vectoriels, Nassimah Dindar soulignait après cette signature, que La Réunion doit bénéficier de moyens renforcés. L’État s’est certes engagé vers un renforcement nécessaire des services de la DRASS, mais la présidente du Département demande au gouvernement de maintenir les renforts militaires durant l’hiver austral. Une exigence commune aux présidents des 2 collectivités : la pérennisation des emplois actuellement mobilisés dans la lutte. "Nous voulons l’engagement de l’État", soutient encore la présidente, alors que Paul Vergès, président de la Région, souligne que les jeunes cadres réunionnais doivent aussi être représentés au sein du Centre de veille et de recherche. "C’est une préoccupation majeure si l’on veut que les Réunionnais se l’approprient". Et puisqu’il faudra désormais vivre avec le chikungunya, le président estime qu’il faut tout mettre en œuvre pour limiter au maximum la transmission du virus "et pour cela, il faut des moyens".
Si l’on se réfère aux déclarations publiques de Dominique de Villepin : "nous avons la même volonté d’action et de résultat quelles que puissent être les difficultés", "l’État restera à vos côtés pour combattre la maladie et développer l’île". La Réunion devrait avoir les moyens de ses ambitions sanitaires.
Estéfani
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