
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Une institution de la République élue au suffrage universel bloquée plusieurs heures
10 juillet 2009, par
Personne n’a été dupe des motivations du mouvement des transporteurs hier. Comme en novembre dernier, ils ont pu bloquer la Région dans l’impunité. Face à l’impossibilité d’inaugurer la Route des Tamarins, les responsables de cette situation ont donné l’ordre de libérer la Région.
Toute la journée, un groupe de transporteurs a été sous les feux des projecteurs. Personne n’a été dupe des motivations et de l’organisation de ce mouvement. Comme ils l’avaient annoncé, ces transporteurs ont bloqué la Région. Et tout le monde a pu noter qu’ils ont pu faire ce blocus sans en être empêché par les forces de l’ordre. La Réunion a été proche d’un remake des événements de novembre dernier, avec les mêmes protagonistes, et où certaines personnes sont impunies à partir du moment où elles décident de s’attaquer à la Région.
Hier, tous les Réunionnais ont pu constater que l’on a laissé agir ces transporteurs, alors qu’ils n’avaient pas caché leur volonté de s’en prendre à la collectivité. La lecture de leurs mots d’ordre ne fait place en effet à aucun doute.
Le blocus d’une assemblée de la République élue au suffrage universel, a fait que le président de cette institution n’a pas pu participer au déjeuner républicain organisé à la Préfecture pour la venue de la délégation conduite par le Premier ministre.
Et l’inévitable se rapprochait, c’est-à-dire l’impossibilité d’inaugurer la Route des Tamarins parce que le président de la Région était bloqué par des transporteurs.
Face à cet inévitable qui allait se produire, ceux qui ont été responsables de cette situation en laissant les transporteurs s’installer devant la Région ont enfin donné l’ordre de libérer la collectivité pour ne pas compromettre l’inauguration de la Route des Tamarins. Cet ordre a été donné à 13 heures 10.
La conséquence de novembre dernier
Ce qui s’est passé hier est la conséquence directe de la manifestation de novembre dernier. Pendant plus de quarante huit heures, une institution de la République élue au suffrage universel a été victime d’un blocus de plus de 48 heures. Les auteurs de cette prise d’otage de la démocratie n’ont jamais été inquiétés par l’autorité responsable de l’ordre public. Cela n’a pu que concourir à la naissance d’un sentiment d’impunité chez ceux qui attaquent la Région. Cette impunité a pu se vérifier hier. Comme au mois de novembre, l’autorité chargée de l’ordre public a laissé ces manifestants s’installer, puis partir sans qu’ils n’aient à répondre de leurs actes qui ne correspondent guère au fonctionnement d’une démocratie.
Tout cela n’est pas arrivé par hasard, car tous les Réunionnais ont pu également constater qu’un syndicaliste a été interpelé alors qu’il manifestait hier à Saint-Denis. Cette arrestation pour officiellement un contrôle d’identité est d’autant plus étonnante que personne ne parle de violence. Pourquoi ceux qui bloquent la Région ne sont-ils jamais interpelés ? D’où vient cette tolérance à la violence institutionnelle à l’encontre d’une collectivité territoriale de la République ?
M.M.
Contre-vérité
Lorsque RFO-Télé a parlé hier soir de l’inauguration de la Route des Tamarins par le Premier ministre, le service public a cru bon de devoir indiquer que la Route des Tamarins a été financée en partie par l’État.
C’est une contre-vérité, car tout le monde sait que c’est la Région à 84%, et l’Europe à 16% qui ont financé la réalisation de ce chantier. Pourquoi une telle contre-vérité ?
La mairie du Tampon bloquée ?
Hier, Joël Mongin et ses amis ont organisé le blocage de la collectivité qui consacre la plus large part de son budget aux investissements (70%).
Aujourd’hui, manifestera-t-il au Tampon ? Tous les Réunionnais savent qu’en refusant la rocade, Didier Robert a fait perdre un chantier de 100 millions d’euros aux entreprises réunionnaises. Joël Mongin ne l’ignore pas. Ira-t-il aujourd’hui bloquer la mairie du Tampon ? Mais les actions de Joël Mongin visent-elles véritablement à donner du travail aux entrepreneurs ?
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