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29 janvier 2021
La délinquance a chuté en France en 2020, en raison de la pandémie du Covid-19 et les confinements, cependant les violences intrafamiliales et sexuelles, notamment les viols, continuent d’augmenter, selon un premier bilan annuel du ministère de l’Intérieur.
Dans le contexte exceptionnel de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, marqué par deux périodes de confinement national de la population (du 17 mars au 10 mai et du 30 octobre au 14 décembre), la plupart des indicateurs de la délinquance enregistrée par les services de police et de gendarmerie reculent fortement en 2020, a indiqué le communiqué de presse du service statistique du ministère.
Dans un premier temps, le ministère met en exergue les baisses très nettes pour les vols sans violence contre les personnes (-24 %), les cambriolages de logements (-20 %), les vols violents sans armes (- 19 %), les vols d’accessoires sur véhicules (-18 %), les vols dans les véhicules (-17 %), les vols de véhicules (-13 %), les destructions et dégradations volontaires (-13 %) et dans une moindre mesure les vols avec armes (-8 %).
Ces indicateurs ont enregistré une chute drastique lors du premier confinement : en fin d’année 2020, ils restent sensiblement inférieurs aux niveaux observés avant le début de la crise sanitaire après s’en être rapprochés pendant l’été, a précisé le communiqué. Par ailleurs, le nombre d’homicides diminue aussi en 2020 (863 victimes) alors qu’il était en hausse ces deux dernières années.
Cependant a précisé le communiqué : les indicateurs qui enregistraient une forte hausse en 2019 augmentent de nouveau en 2020, dans le contexte de la crise sanitaire, mais de manière plus modérée : les violences sexuelles (+3 % après +12 % en 2019), les escroqueries (+1 % après +11 % en 2019) et les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (+1 % après +8 % en 2019).
Une très légère hausse des coups et blessures volontaires est visible, en raison de la forte augmentation des violences intrafamiliales enregistrées (+9 %) : hors violences intrafamiliales, les coups et blessures volontaires diminuent nettement en 2020 (-7 %), a indiqué le ministère de l’Intérieur.
Dans ce contexte, les tendances nationales de chaque indicateur - à l’exception des coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus - se retrouvent sur la quasi-totalité des régions et des départements, avec néanmoins une ampleur qui peut être variable selon les territoires, y compris en Outre-mer.
Les viols (+11%) et les violences intrafamiliales (+9%) restent en hausse, pour la troisième année consécutive. Ces indicateurs "augmentent de nouveau en 2020, mais de manière plus modérée", a précisé le ministère.
Les viols, qui avaient déjà augmenté de 19% en 2019 et 18% en 2018, sont comptabilisés parmi les violences sexuelles qui augmentent de 3% (après +12% en 2019 et +19% en 2018).
Pour le ministère, l’augmentation des violences sexuelles enregistrées ces dernières années s’explique par une évolution du comportement des victimes. Elles hésitent moins à porter plainte, notamment depuis l’affaire Weinstein et la libération de la parole, avec le phénomène #MeToo. De plus, les réseaux sociaux et un meilleur accueil des victimes par les services de l’Etat permettent de faciliter les témoignages.
A La Réunion, au cours de l’année 2020, il y a eu :
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