
Accord historique pour la Nouvelle Calédonie
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6 juin
À 15 jours de la fin du conclave sur les retraites, les députés ont mis la pression sur l’exécutif en adoptant très largement, le 5 juin un texte non contraignant défendu par le Parti communiste.
Il s’agit d’un vote très symbolique, qui vise à mettre la pression sur l’exécutif et en lui envoyant un message clair : l’Assemblée nationale est majoritairement favorable à l’abrogation de la réforme des retraites.
Après plusieurs tentatives ces derniers mois, avec des propositions de loi du groupe Liot, du RN, ou encore des Insoumis, toutes écartées d’une manière ou d’une autre par les macronistes, les communistes avaient aujourd’hui changé de stratégie.
Le président communiste du groupe, Stéphane Peu, a décidé de mettre à l’ordre du jour une proposition de résolution enjoignant au gouvernement d’abroger la réforme des retraites.
Un texte non contraignant mais permettant à l’Assemblée nationale de se prononcer pour la première fois depuis 2023 et la non-adoption, à 9 voix près, de la motion de censure du groupe Liot contre le gouvernement d’Élisabeth Borne, qui avait dégainé le 49-3 pour faire adopter sa réforme.
Un pari réussi pour les communistes, car leur texte a été adopté, à 198 voix pour, 35 contre.
Dans un Hémicycle déserté par les troupes d’Emmanuel Macron, le communiste Stéphane Peu a regretté que "ce gouvernement refuse obstinément de revenir sur cette réforme (...) brutale et injuste (...), la plus grande blessure démocratique depuis le référendum de 2005", selon lui.
Avant de déplorer "les manœuvres d’obstruction ou d’irrecevabilité" des macronistes "pour ne pas que la réforme soit abrogée". Il a prévenu que "soit le gouvernement opte pour la sagesse et la concorde et abroge cette réforme, soit il opte pour saisir les Français par référendum".
L’initiative a largement été soutenue par la gauche. "La réforme à 64 ans aurait dû être abrogée depuis longtemps", a critiqué la patronne du groupe LFI, Mathilde Panot.
De son côté, François Ruffin, du groupe écologiste et social, a assuré qu’"avec vous, pas de vote jamais : des 49-3, de l’obstruction, des conclaves. Vous êtes le gouvernement de l’enlisement".
Le Rassemblement national, qui a voté pour cette résolution, l’a toutefois largement critiquée. "Nous sommes les spectateurs contraints d’une pièce de théâtre avec un scénario lassant. À quoi bon ce simulacre ? Le Parlement n’est pas là pour mendier une abrogation. Il est là pour la voter et une majorité absolue existe dans cet Hémicycle", a déclaré le député RN, Théo Bernhardt.
"Votre proposition est séduisante mais son adoption ne serait que symbolique alors que nos concitoyens attendent des mesures concrètes et des actes", a de son côté regretté le député Liot Stéphane Viry.
Le député LR, Jean-Didier Berger, a moqué "une véritable mascarade", avant que la ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Pouvet, déclare que "la question des retraites continue à tarauder le pays".
À deux semaines de la fin du conclave des partenaires sociaux sur les retraites lancé par le premier ministre, François Bayrou, les députés viennent en tout cas d’envoyer un signal au gouvernement : après son adoption contestée en 2023, la réforme des retraites ne fait toujours pas consensus au Palais Bourbon, loin de là.
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