
Désaccord entre les canniers et les usiniers, toujours pas de date pour la récolte
8 juilletLes planteurs et usiniers réunis en commission mixte d’usine dans le sud le 7 juillet ne sont pas parvenus à un accord. Dans un contexte où la (…)
Vers une accélération du calendrier du gouvernement ?
3 septembre 2012, par
Conscient de l’aggravation de la situation économique et financière du pays, François Hollande a annoncé une accélération de son action, le 1er septembre. Ce dernier a indiqué : « Nous sommes devant une crise d’une gravité exceptionnelle » et pour faire face à l’urgence, « il faudra du temps » pour gagner « la bataille de la croissance, de l’emploi, de la compétitivité ».
« Il y a une urgence économique et sociale » avec « structurellement un modèle en crise », a expliqué le politologue Jérôme Fourquet à l’Agence France Presse. Ce dernier a indiqué que le président ne pouvait plus prendre de temps, car son quinquennat est sujet à « l’accélération du temps politique et à la médiatisation », d’autant plus que « le profond pessimisme et l’angoisse des Français » persistent.
Le changement prend du temps
Pour répondre à certaines urgences, le dispositif sur les contrats de génération sera présenté dans "les jours qui viennent" aux partenaires sociaux a expliqué le chef de l’État. De plus, les plans sociaux et restructurations seront négociés entre syndicats et patronat « dés le mois prochain ». L’accélération de « son action » intervient au moment où l’État se porte garant pour le Crédit Immobilier de France qui s’est coupé ses financements sur le marché.
Cette situation met en exergue les dossiers à venir pour le gouvernement. Il devra également concrétiser sa proposition de banque publique d’investissement, qui doit en particulier participer au financement des PME. Du côté des collectivités locales, une réforme de leur financement va être lancée, afin de réduire le déficit public et permettre de respecter les 3% imposé par Bruxelles pour rester dans la zone euro. En contrepartie, l’État a indiqué que les Régions pourront gérer les « fonds européens consacrés à leur territoire ». D’ici là, François Hollande a expliqué qu’« il n’y a pas de jour à perdre, trop de périls nous menacent. Le changement ce n’est pas une somme d’annonces, c’est une force qui sait où elle va, susceptible de rassembler le pays. Oui, il y aura des efforts à faire, mais ils seront consentis dans la justice ».
L’optimisme affiché des Européens
Alors que les dirigeants des États européens tentent de rassurer leurs concitoyens, Angel Gurria, secrétaire général de l’OCDE, a exhorté la Banque centrale européenne à commencer des rachats illimités d’obligations pour endiguer la crise de la zone euro. Selon le chef de l’Organisation de coopération et de développement économiques, cité par l’agence de presse Reuters, « la BCE doit agir davantage, car les fonds de sauvetage mis en place par les Européens depuis le début de la crise (le Fonds européen de stabilité financière et Mécanisme européen de stabilités) ne suffisent pas, pas assez rapides, pas assez réactifs ».
Ce dernier s’est iniquité de l’ampleur de la crise européenne et a indiqué que « c’est le système qui est en jeu, l’euro ne devrait pas être exposé à un risque ». Souhaitant rester optimiste et conforter les responsables européens, Angel Gurria a prédit que la zone euro sortirait intacte de la crise actuelle : « Je suis convaincu que personne ne va quitter l’euro et que personne ne devrait quitter l’euro. Et je suis convaincu que plusieurs autres pays rejoindront l’euro dans le futur », a-t-il déclaré.
Au même moment, le directeur du Fonds européen de stabilité financière, l’Allemand Klaus Regling, s’est dit convaincu que « la crise de la zone euro pouvait être réglée d’ici à un ou deux ans, si les pays concernés tiennent leurs engagements budgétaires », a-t-il expliqué dans une interview à paraître lundi 3 septembre dans l’hebdomadaire “Der Spiegel” (AFP).
Klaus Regling a affirmé que le maintien des engagements de consolidation budgétaire ainsi qu’une amélioration de la compétitivité permettront de régler la crise.
Céline Tabou
Les planteurs et usiniers réunis en commission mixte d’usine dans le sud le 7 juillet ne sont pas parvenus à un accord. Dans un contexte où la (…)
Mézami bann marmaye lékol dopi étan pti ziska étan jenn-jan lé an vakanss é mi souète azot ropoz azot in pé an atandan la rantré i ariv… In rogré (…)
Le 13 juin 2025, l’opération surprise "Rising Lion" est lancée par Israel. Des frappes larges et coordonnées sont larguées contre plus de 100 (…)
Médam, zé Méssyé, la sossyété, zot i koné bann franssé i di konmsa : « la kolèr lé movèz konséyèz » é dann kozman kréol ni rotrouv anou mèm pwin (…)
L’Assemblée nationale débat depuis le 7 juillet de la proposition de loi sur la revalorisation du statut d’élu local, adoptée par le Sénat en mars (…)
Les mesures fiscales engagées, dans le cadre du budget 2026, auraient « un effet désincitatif majeur sur les dons » en leur faveur, avec des (…)
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Les technologies de Google Cloud renforceront la plateforme d’Ecobank pour améliorer la banque digitale, le soutien aux petites et moyennes (…)
Le patron des communistes, Fabien Roussel, ne se rendra pas à une réunion de la Gauche sur l’hypothèse d’une candidature commune de gauche en (…)
Une information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
La FSU Emploi Réunion tient à rappeler que la mise en œuvre des programmes de transformation de France Travail, issus de la loi Plein Emploi, ne (…)
La conférence historique sur le financement du développement à Séville s’est conclue avec un sentiment renouvelé de détermination et un accent mis (…)