
Surpopulation carcérale : des propositions faites qui ne convainc pas
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Des alternatives à l’austérité déjà mises en œuvre
18 juillet 2012
Dans son numéro de juillet-août 2010, la revue du Conseil économique, social et environnemental, explique que la situation budgétaire de la République a été déjà beaucoup plus préoccupante qu’aujourd’hui. Et pourtant, cela n’a pas empêché de mettre en œuvre des politiques sociales ambitieuses plutôt que des plans de rigueur. La France avait alors une dette publique atteignant 170% de son PIB. Cela ne l’a pas empêché de créer la Sécurité sociale.
« Au cours des siècles, la dette publique est souvent apparue comme une nécessité pour gérer un pays, l’organiser, faire face aux catastrophes et guerre ou permettre l’anticipation des investissements nécessaires que seule la puissance publique peut engager en raison d’une rentabilité insuffisante à court terme.
L’histoire montre aussi que les schémas de progression de la dette publique sont divers. Suivant le premier conflit mondial, l’endettement atteignait en 1920, 170% du PIB en France, 138% au Royaume-Uni et seulement 28% aux Etats-Unis.
La croissance euphorique des années 20 outre-Atlantique avait fait diminuer la dette de l’État alors que l’endettement privé des entreprises et des ménages avaient flambé sur fond de spéculation, y atteignant 250% du PIB. Dans la foulée de la crise de 1929, la dette publique américaine se mit à progresser elle aussi fortement.
Durant les "Trente glorieuses", la dette française n’a pas dérapé. Il est vrai que la France avait alors une tradition d’équilibre budgétaire d’autant plus facile à respecter que la croissance était forte. Il est intéressant de voir comment la dette publique s’est fortement accrue depuis les années 80 jusqu’à nos jours, et cela pratiquement dans tout le monde développé. »
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