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Fête de l’Humanité
15 septembre 2014, par
La Fête de l’Humanité se déroule en pleine crise politique, après le remaniement ministériel et la poursuite de la politique générale, qualifiée de « libérale » par la Gauche, parmi laquelle les cadres du parti présidentiel : le parti socialiste.
Durant trois jours, débats et échanges auront lieu afin de « construire d’urgence une alternative politique » a expliqué Pierre Laurent, secrétaire national du PCF. Invités à la table d’honneur du PCF, les frondeurs socialistes, réunis sous le nom Vive la Gauche, les écologistes, le Parti de Gauche, en les personnes de Jean-Luc Mélenchon, Eric Coquerel, Jean-Marc Germain, Christian Paul, Jérôme Guedj, l’économiste Liêm Hoang-Ngoc, Pascal Cherki, la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, ainsi qu’Emmanuelle Cosse et Jean-Vincent Placé.
A noter la présence de Jérôme Kerviel, ex-traders, libéré lundi, ce dernier a remercié « des gens comme Jean-Luc Mélenchon et Julien Bayou, (porte parole d’EELV), également présent, qui m’ont donné la gnaque de continuer dans les moments d’abattement ». Devenu le symbole des dérives de la finance, Jérôme Kerviel dénonce désormais le système.
Une table ronde axée sur l’image destinée à maintenir un rapport de force avec le gouvernement à quelques jours du vote de confiance de la politique globale, présentée par le Premier ministre Manuel Valls. Pour le secrétaire national du Parti communiste, « le premier ministre rêve tout haut de tuer la gauche », a lancé vendredi Pierre Laurent en marge de l’ouverture de la Fête de L’Humanité.
Ce dernier a assuré que Manuel Valls commettait « chaque jour, un acte de provocation vis-à-vis de la gauche ». Pour preuve, les sondages réalisés lors de la primaire socialiste en 2011, donnant à Manuel Valls, 5%. Pour le patron du PCF, « il faut changer de premier ministre. On a un premier ministre totalement minoritaire dans le pays, au sein de la gauche et même très probablement au sein du Parti socialiste », a insisté Pierre Laurent sur France Info quelques jours avant la Fête.
Pour contrer le Premier ministre et sa politique, le PCF tient à nouer des alliances avec tous les contestataires de la politique du gouvernement. Ainsi, Pierre Laurent veut engager « le débat des solutions » pour mettre en place « un programme de redressement national » et construire une « alternative à gauche ». « La bataille ne sera peut-être pas gagnée mardi (jour du vote de confiance), mais je vois bien que les lignes bougent et nous sommes là pour provoquer le mouvement », a-t-il indiqué.
Alors que les parlementaires du Parti de Gauche ont annoncé leur intention de votre contre la politique générale, qui sera présentée mardi 16 septembre, certains frondeurs et écologistes devraient voter pour, d’autres frondeurs socialistes et écologistes devraient s’abstenir. « Mon objectif n’est pas de faire tomber le gouvernement. Je ne suis pas un opposant, je suis en désaccord », a expliqué au quotidien Le Monde, Pascal Cherki.
De son côté, Jean-Marc Germain a indiqué que « le vote de confiance est un archaïsme de la Ve République. Il consiste à dire : « Vous refusez ou vous acceptez la politique du gouvernement. » Je veux pouvoir me prononcer sur chaque texte ». Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice PS de Paris et réputée frondeuse, a dénoncé « un petit quarteron de gauche qui s’approprie une dérive politique qui n’est pas de gauche », assurant qu’« on est dans le temps de la conviction » et qu’« il faut montrer qu’il y a une dynamique possible ».
Jean-Luc Mélenchon a quant a lui encouragé les frondeurs à voter contre la confiance et à ne pas « avoir peur » du « monarque républicain » qui laisse planer la menace d’une dissolution de l’Assemblée. « Ces députés n’ont aucune excuse. Ils sont libres dans un pays libre et ils ont été élus. Par conséquent ils doivent aller au bout de leur logique (...) Il ne suffit pas de faire de la mousse médiatique. Cela n’a pas de sens de s’abstenir à propos de la confiance que l’on fait ou non à un gouvernement », a-t-il déclaré. Même volonté pour Pierre Laurent, qui appelle aussi au vote contre la confiance, estimant que ce « sera une épreuve de vérité, mais pas la seule ».
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Messages
15 septembre 2014, 05:52, par titienne
Le débat doit être déterminé, ferme, constructif mais sans faire le jeu d’une dérive car le peuple en lutte n’aurait rien gagné ; si ce n’est se retrouver devant un sursaut républicain et ce n’est bien évidemment , absolument pas la finalité !
Cela ne voudrait pas dire qu’il ne faille point un coup semonce à gauche, nous tous d’accord que nous n’avions pas accorder , de part notre vote majoritaire, des délégations à des financiers pour gérer le pays, mais sans tomber dans l’effet surtout dans l’effet inverse.