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Journée Internationale de la paix
22 septembre 2019
Plusieurs dizaines de personnes se sont réunies sur le parvis des Droits de l’Homme à Champ Fleuri, afin de célébrer la Journée internationale de la paix, ce 21 septembre 2019.
Julie Pontalba, président du Mouvement réunionnais pour la paix
A cette occasion, plusieurs personnalités politiques et associatives ont expliqué en quoi la paix dans le monde et entre les peuples est cruciale pour l’Humanité.
Parmi les personnages présents, les participants ont pu voir Elie Hoarau, président du PCR, aux côtés de Maurice Gironcel et Ary Yee Chong Thci Kan, membres du secrétariat du PCR. A leurs côtés, plusieurs organisations telles que l’AID, la Ligue des droits de l’Homme, Europe Ecologie les Verts, et entre autre, le Groupe de Dialogue Interreligieux.
Introduit par Julie Pontalba, présidente du Mouvement Réunionnais Pour la Paix a expliqué que « face à la banalisation des violences et injustices, on a tendance à croire que c’est immuable qu’il n’y a rien à faire ».
Pourtant cette dernière a expliqué « il n’y a pas si longtemps, on pensait qu’il y avait rien à faire face aux changements climatiques, qu’il n’y avait pas de problème, et pourtant il y a des voix qui se sont élevées partout dans le monde, de plus en plus nombreuses. Elles étaient convaincues que l’on pouvait agir ». Alors, « au fur et à mesure, il y a eu une prise de conscience de la situation, d’une réelle menace, mais que l’on peut agir face à ces changements ».
Raisons pour lesquelles Julie Pontalba a assuré qu’il est possible d’agir et surtout qu’il est « essentiel de faire entendre nos voix, à chaque instant, car la lutte pour la paix c’est tous les jours et ensemble ». Une analyse partagée par Idriss Issop Banian, président du Groupe de Dialogue Inter-Religieux, qui a évoqué la Journée de la fraternité réunionnaise.
Selon lui, cette journée vise à concilier la Journée internationale de la paix et la fraternité réunionnaise, afin de travailler au respect et à la paix entre les êtres. En effet, pour Idriss Issop-Banian, « la paix doit diligenter les relations humaines ». En vue d’œuvrer pour la paix, le respect, la fraternité et la tolérance, le GDIR va créer un Centre réunionnais pour le rayonnement de la fraternité.
Idriss Issop-Banian, président du GDIR
« En 350 ans de créolisation et de symbiose entre les cultures et les connaissances, La Réunion est porteuse d’une civilisation multiple. Nous sommes un peuple de sagesse, un grand peuple. J’ai l’audace de croire que demain à La Réunion, il peut jaillir une parole de paix », a déclaré ce dernier.
Une paix internationale qui passe par une paix intérieure, comme l’a expliqué Geneviève Payet, conseillère fédérale d’Europe-Ecologie-Les Verts. « On suppose que la paix est une absence de violence, de désordre dans l’environnement social, familial, professionnel, et dans les instituts. La paix est associée à un équilibre interne mais en réalité il est difficile de différencier la paix intérieure de la paix extérieure. Car la communication de l’homme avec lui-même détermine forcément la communication avec l’autre et avec le monde », selon cette dernière.
Une analyse partagée par Max Banon, membre de la CGTR, a expliqué que la paix est une lutte sociale de tous les jours : « le combat syndicale s’inscrit dans les combats pour la paix ». Ce dernier a souligné les luttes contre la pauvreté, pour le plein emploi, pour un meilleur salaire, et une meilleure répartition des richesses, comme vecteurs de paix intérieur pour assurer une paix plus globale.
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