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Importation de galets pour le chantier de la nouvelle route du littoral
17 octobre 2015, par
Ver blanc, grippe espagnole, pestes végétales : tout cela est arrivé par la mer. Cela explique pourquoi dans des temps plus reculés, la quarantaine était obligatoire avant de débarquer à La Réunion.
À plusieurs reprises, La Réunion a connu de graves problèmes à cause de maladies venues de la mer. En 1975, le gouvernement de Madagascar obtient le démantèlement des bases militaires françaises encore présentes sur son territoire. Militaires et équipement sont alors envoyés à La Réunion. Ils transportaient avec eux un passager clandestin, le ver blanc. Ce parasite s’est ensuite attaqué à la canne à sucre. Il a fait des dégâts considérables avant de pouvoir être maîtrisé au bout de plusieurs années de lutte. Tous les planteurs vivent dans la hantise de la réapparition du ver blanc dans leurs champs.
À une époque plus lointaine, une épidémie de grippe espagnole s’est déclenchée peu après le retour des soldats réunionnais des champs de bataille de la Première guerre mondiale. C’est la terre transportée dans les cales du bateau ramenant les soldats qui a été alors accusée d’être responsable de l’introduction de la maladie.
Rappelons que pendant longtemps, toute personne venant à La Réunion devait subir une quarantaine pour savoir si elle n’était pas porteuse d’une maladie contagieuse. Cette mesure de précaution visait particulièrement les travailleurs qui étaient amenés d’Afrique et d’Asie. Cette quarantaine se passait aux Lazarets.
Aujourd’hui, tous les voyageurs qui arrivent aux aéroports de Pierrefonds et de Gillot sont informés qu’ils ne doivent pas transporter de plantes, pour éviter d’importer une catastrophe sanitaire lourde de conséquences dans une petite île comme La Réunion.
Qui peut croire que l’on puisse importer sans précaution des centaines de milliers de tonnes de galets de Madagascar ?
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