
Une nouvelle prison au Port : une hérésie !
3 juillet, parUne information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Échos de presse :
4 août 2012
Même si chacun délivre sa tonalité, les commentaires et réactions suscités par la conférence de presse de Paul Vergès montrent l’intérêt et la nécessité du débat qui s’ouvre. La question des majorations de rémunérations de la fonction publique à La Réunion, fragilisées aujourd’hui par des décisions de juridictions, s’inscrit dans le cadre plus général de la politique des revenus et du fonctionnement de l’économie et de la société réunionnaises. Et ce débat ne fait que commencer, au-delà des postures des uns et des autres. Prenons l’exemple de l’article paru hier dans le “Journal de l’île”.
Le titre, choisi comme pour conjurer le sort, « le pétard mouillé de Paul Vergès » est démenti par tout le reste de l’article. Notre confrère exprime en réalité le désarroi du syndicat qui a introduit le recours ayant abouti à l’effet exactement contraire à celui recherché : non seulement l’employée représentée par le SAFPTR ne peut avoir droit à l’index de correction mais cette majoration de rémunération est considérée par l’ordonnance du juge, comme illégale ; cela vaut donc pour toute la fonction publique. On comprend pourquoi ce syndicat veut éteindre le pétard s’il a imprudemment allumé et qu’il veut croire à un pétard mouillé alors qu’il a créé une situation explosive ! Car à travers cette remise en cause de l’index de correction, c’est bien toute la fonction publique de La Réunion qui est concernée.
Le "Quotidien" l’explique clairement : c’est une décision « lourde de menace pour les agents en poste, mais surtout pour ceux qui attendent leur titularisation ». Interrogé par radio Freedom, Paul Vergès a rappelé que ce qui est en jeu, c’est la justice. Comment refuser des majorations de rémunérations à certains et les maintenir pour d’autres ?
Sur les sites internet et sur les radios, les lecteurs et auditeurs ont été nombreux à s’exprimer. Ainsi, pratiquement toute l’émission d’une autre radio a tourné autour de la question des sur-rémunérations des fonctionnaires. Les auditeurs ont exprimé une diversité de point de vue qui montre que le débat ne fait que commencer.
Mais après les considérants énoncés par le juge administratif, une chose est désormais certaine : le statu quo est condamné. Dès lors, faut-il subir ou orienter le changement ? Chacun est face à ses responsabilités.
A.P.
Une information récente communiquée par le ministre de la Justice Gérald Darmanin concerne la création de nouvelles prisons sur l’ensemble du (…)
Alors que Mayotte subit un enchevêtrement de crises - pauvreté structurelle, dégradation des services publics, conséquences dramatiques du cyclone (…)
La FSU Emploi Réunion tient à rappeler que la mise en œuvre des programmes de transformation de France Travail, issus de la loi Plein Emploi, ne (…)
Mézami, zot i rapèl lo mo kazou ? Mi anparl pa bann vyé roshé konm mwin mé la zénérassion d’apré. Si mi di kazou, kossa zot i oi dann zot (…)
Une délégation du "Collectif des usagers de la ligne Réunion - Comores" a été reçue le 2 juillet à la Région, à la demande de la Présidente (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)