
C’était un 30 juin
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Déclaration du Bureau politique du Parti communiste guadeloupéen
24 novembre 2021
Le Bureau politique du PCG « condamne et dénonce la stratégie du gouvernement français » et demande au gouvernement « d’établir le dialogue avec les forces sociales mobilisées, sur leur plate-forme de revendications, d’enlever la Guadeloupe du champ d’application de la loi sur l’obligation vaccinale et le pass sanitaire, d’abroger les mesures de suspension prises à l’encontre des personnels soignants et d’annuler les dispositions autorisant les visiteurs ayant un schéma vaccinal complet à entrer sur le territoire guadeloupéen sans test PCR négatif et sans isolement contrôlé », souligne la déclaration datée du 19 novembre.
« La Guadeloupe vit une crise d’une extrême gravité qui risque de faire basculer toute la société guadeloupéenne dans le chaos, si les réponses urgentes et appropriées ne sont pas apportées aux légitimes revendications posées par les femmes, les hommes et les jeunes qui vivent dans le pays.
La Guadeloupe et les Guadeloupéens paient en ce moment un lourd tribut à l’arrogance, à la condescendance, à la gestion autocratique et au mépris colonialiste du gouvernement et des représentants de l’État, dans le silence et le mutisme complices et coupables de la quasi-totalité des élus, censés les représenter.
La situation de chaos actuel de la Guadeloupe est de l’entière responsabilité du gouvernement, des autorités politiques locales, des décideurs économiques qui ont opposé une attitude méprisante à l’endroit des travailleurs et des Guadeloupéens qui expriment démocratiquement depuis plusieurs mois dans des manifestations pacifiques, des revendications justes, soumises à tous ces responsables et restées lettre morte L’embrasement d’aujourd’hui qui mobilise les Guadeloupéens dans les rues est la réponse au mépris, à l’autoritarisme, à la surdité et aux injustices des pouvoirs politiques.
Nous déplorons les actes de vandalisme et de pillage qui s’exercent en marge de la mobilisation sociale :
La jeunesse guadeloupéenne, dans toute sa diversité, qui est la première victime du système de pwofñasyon a investi, comme ele l’a fait dans chaque grande crise qui a secoué notre pays, ce champ de bataille pour s’ouvrir une perspective, pas forcément pour casser et détruire.
Il ne faut pas brûler notre jeunesse qui est à l’image de tous les jeunes du monde qui se battent pour leur avenir, pour les libertés, le travail la formation, une vie digne.
Le Parti Communiste Guadeloupéen condamne et dénonce la stratégie du gouvernement français qui, pour seule réponse aux souffrances des Guadeloupéens choisit la répression en annonçant l’envoi de 200 militaires supplémentaires en Guadeloupe, parmi lesquels 50 du GIGN et du RAID, formés à tuer.
Le Parti alerte toutes les forces progressistes de France et du monde sur le massacre que prépare le gouvernement Macron au nom de la France, en Guadeloupe.
Le Parti Communiste Guadeloupéen demande instamment au gouvernement
– d’établir le dialogue avec les forces sociales mobilisées, sur leur plate-forme de revendications.
– d’enlever la Guadeloupe du champ d’application de la loi sur l’obligation vaccinale et le pass sanitaire.
– d’abroger les mesures de suspension prises à l’encontre des personnels soignants.
– d’annuler les dispositions autorisant les visiteurs ayant un schéma vaccinal complet à entrer sur le territoire guadeloupéen sans test PCR négatif et sans isolement contrôlé.
Le Parti Communiste Guadeloupéen appelle
Les Présidents du Conseil régional et du Conseil départemental à convoquer en urgence un Congrès ouvert à toutes les forces politiques, économiques, sociales, culturelles et de la jeunesse en vue d’élaborer un projet global d’émancipation pour notre Guadeloupe.
Pointe-à-Pitre, le 19 novembre 2021
Le Secrétaire Général »
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