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Réaction du Parti communiste réunionnais suite à la décision de François Hollande de ne pas se représenter à l’élection présidentielle
3 décembre 2016, par
Ce 1er décembre, François Hollande a annoncé sa décision de ne pas briguer un second mandat de président de la République. Le Parti communiste réunionnais a réagi à cette information par la voix d’Yvan Dejean, co-secrétaire général du PCR.
Hier, François Hollande a fait une intervention publique pour donner sa position au sujet de la prochaine élection présidentielle. Il a décidé de ne pas se représenter devant les électeurs. Il ne briguera donc pas sa propre succession.
Pour le Parti communiste réunionnais, Yvan Dejean, co-secrétaire général indique tout d’abord que « c’est la première fois qu’une telle situation se déroule sous nos yeux dans 5e République ». « Cela rebat les cartes à gauche pour la présidentielle », ajoute-t-il.
Pour le PCR, la priorité est « l’élaboration d’un projet de développement pour La Réunion. Les propositions seront soumises aux candidats à l’élection présidentielle une fois que les choses se seront clarifiées », précise Yvan Dejean.
Le co-secrétaire général du PCR rappelle que pour le Parti, « ce n’est pas un problème de personne, mais de politique ».
Au sujet du bilan du président sortant, le PCR se réfère aux engagements pris pour La Réunion par François Hollande lors de son discours à Saint-Louis le 1er avril 2012. « Aucun n’a été tenu dont le plus emblématique, celui du tram-train ». « Quand on connaît le martyre quotidien de la population dans les embouteillages, cela rappelle que nous avions raison de proposer ce projet », souligne-t-il. « Le bilan exhaustif de l’action de François Hollande sera fait lors de la prochaine campagne électorale », précise le dirigeant communiste avant de conclure au sujet du refus de François Hollande de briguer un second mandat de président de la République : « sa décision est un acte de lucidité et de courage ».
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Messages
3 décembre 2016, 10:01, par Maillot joseph luçay
La décision de François Hollande de ne pas se représenter à l’élection présidentielle est une sage décision qui correspond à l’évolution de notre démocratie . Le président de la république se situe en France au dessus des partis et son action ne doit pas dépendre de la position prise par les divers partis mais uniquement de sa vison de l’intérêt général du pays dans son contexte national et international . Cette position entraîne bien entendu un rejet de sa personne dès que ses décisions ne plaisent plus .
Un président n’est pas élu pour plaire et pour ne pas tomber dans le piège des campagnes électorales successives qui exigent que la côte de popularité du président soit toujours très haute , il serait sage que tous les présidents de la république ne fassent qu’un mandat . certes il faudrait que la constitution soit modifiée pour que les conditions d’élection, l’étendue des compétences et la durée du mandat permettent au président d’avoir les coudées franches pour agir .Mais pour qu’il puisse agir librement en gardant sa position de chef suprême et de premier personnage de l’état il ne devrait pas faire plus d’un mandat .dont la durée ne devrait pas dépasser 10 années .
Bien entendu , pour pouvoir exercer efficacement ses fonctions le président élu ne devrait pas être trop âgé et à cet effet il faudrait fixer à 70 ans l’age limite pour se présenter à une élection présidentielle et exiger des candidat de prouver qu’ils sont en parfaite santé .
5 décembre 2016, 12:46, par Michel M
Nana un gros souci. Gesticuler dans tous les sens ne résoudra pas le problème posé par l’actuel président de la république. Le peuple ne lui demande pas de plaire ou non. Il a été élu sur un programme et une volonté du peuple d’éviter l’ultralibéralisme." Péna problèm", il nous avait dit : " moi président" je.... ; sauf qu’il satisfait plutôt les attentes du patronat, quitte à passer en force sa loi sur le travail en usant du 49.3. Le cris du peuple, il ne l’entend pas. Il est obstiné par ses réformes qui ont tendance à privatiser à outrance et éliminer les acquis sociaux des travailleurs.
Michel M
5 décembre 2016, 17:25, par titienne
A mon humble avis , la vraie politique c’est celle qui se soucie sincèrement du devenir des citoyennes et citoyens dans un cheminement Humaniste et non un conflit de personne ; sauf si les circonstances dictent de façon urgentes le contraire !
7 décembre 2016, 18:08, par maillot joseph luçay
Le président de la république française tire sa légitimité de son élection. le contexte économique et social est en continuelle évolution tant sur le plan interne qu’au plan international . le rôle du président de la république est de maintenir le cap de l’entreprise FRANCE en tenant compte de l’intérêt général de la nation mais également de l’intérêt général de la planète entière , (une notion qui commence à pointer timidement son nez mais qui s’imposera avec de plus en plus de force dans les années qui viennent .) pour assumer cette responsabilité , il doit se placer au dessus des partis politiques et pour cela je persiste et signe , il faut qu’il ne soit pas candidat à sa propre succession . Le président de la république ne devrait jamais décider en fonction des sondages et toutes les élections qui se suivent après son élection ne doivent pas remettre en cause sa légitimité politique . élu par le peuple son existence dépend du peuple mais dans un cadre déterminé par la constitution .Pour éviter des crises politiques qui pourraient être provoquées par les médias, dans le cadre d’un mandat unique , celle c devrait prévoir une possibilité de renvoi du président élu pour un seul mandat avant le terme de celui que par une décision votée par les parlementaires à une majorité qualifiée sur proposition conjointe des deux présidents du sénat et de l’assemblée nationale , et de plus une telle décision ne devrait pas pouvoir être prise dans les deux ans qui suivent l’élection et dans la dernière année du mandat présidentiel ..
9 décembre 2016, 23:56, par Michel M
M Maillot, votre proposition d’un mandat unique pour que le président ne face pas l’objet crise politique orchestrée par ses opposants, est une belle idée . Cependant, même s’il doit rester au dessus des partis lors de sa prise de décision sur les grands dossiers économiques et environnementales, le président ne doit pas oublier ses engagements. Il ne doit pas oublier qu’il est aussi le représentant du peuple. Il parle au nom du peuple. Il prend des mesures pour le bien du peuple mais pas contre le peuple et encore moins seulement pour le profit d’une minorité d’ acteurs économiques.
Michel M