
Accord historique pour la Nouvelle Calédonie
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Mettre pleinement fin à la période d’esclavage
14 mai
Le Premier ministre François Bayrou a promis le 13 mai un texte au Parlement, afin d’abolir formellement le Code noir qui légiférait l’esclavage dans les colonies françaises.
"Je prends l’engagement, au nom du gouvernement, qu’un texte actant l’abolition du Code noir sera présenté au Parlement et, je l’espère, voté à l’unanimité", a affirmé le Premier ministre à l’Assemblée nationale, lors de la séance des questions d’actualité au gouvernement.
Ce dernier a répondu au chef de file des députés Liot, Laurent Panifous, qui lui demandait l’abolition de cette ordonnance édictée en 1685 par Louis XIV qui "régit la mise en esclavage d’êtres humains et le réduit au statut juridique de biens meubles".
"Si l’on peut croire que le décret de l’abolition de l’esclavage de 1848 a abrogé le Code noir, il n’en est rien. Aucun texte ne l’a formellement aboli", a souligné le député.
"Grâce à votre question, je découvre cette réalité juridique que j’ignorais absolument, et j’imagine tous ceux qui sont autour de nous, que le Code noir n’a pas été aboli en 1848 comme nous le croyons, après avoir été aboli pendant la Révolution française, puis rétabli par Napoléon", lui a répondu Frnaçois Bayrou.
"Si le Code noir n’a pas été aboli en 1848, il faut qu’il le soit. Il faut que nous ayons la volonté, la capacité, le choix de réhabilitation historique de réconcilier la République avec elle-même", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre avait appelé, le 10 mai à Brest, à ne pas se taire face à "l’histoire terrible et monstrueuse de l’esclavage", à l’occasion de cette journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions.
Il avait décrit "une histoire terrible et monstrueuse par ses dimensions comme par son objet : environ 4 millions de femmes, d’hommes et d’enfants ont connu l’esclavage de 1625 à 1848 dans les colonies françaises".
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