
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Une étrange stratégie
25 mars 2010, par
Depuis la création du Conseil régional, le Parti socialiste plafonne à des scores peu élevés : entre 10 et 15% des voix au premier tour, aux alentour de 20% au second tour. Une stagnation qui peut s’expliquer par une attitude continue : faire cavalier seul.
En 2004, Michel Vergoz refusait d’intégrer l’Alliance. Pourtant, la tête de liste PS était issue de la majorité sortante, élue en 1998. Pour éclairer son refus, le dirigeant socialiste invoquait deux arguments : la nécessité — statutaire selon ses dires — de constituer des « listes homogènes » et la volonté de « compter ses voix ».
« Compter les voix »
Pourtant, une fois les voix « comptées », Michel Vergoz a tout de même porté sa liste au second tour… Position qui dément la protestation de bonne foi de Gilbert Annette, qui présente comme une évidence que l’attitude de son parti est traditionnellement de « se présenter au premier tour et de faire l’union au second tour avec les forces de progrès ». Déjà, le PS refusait l’union face à la droite, et manquait l’occasion d’une entrée pleine et entière dans la majorité.
Une mandature sans appui
« Minorité de la majorité » : c’est malgré tout en ces termes que Michel Vergoz décrivait son action au sein de l’Assemblée. Rétrospectivement, on trouve fort peu de signes d’une appartenance à la « majorité » ; la « majorité » n’a guère bénéficié du soutien de sa « minorité » face à une droite virulente, prompte à dégainer l’injure et la manipulation.
On sait que les socialistes ont boudé la conclusion des accords de Matignon en 2007. Chacun se souvient du 22 novembre 2009 : alors que la bataille pour la dotation ferroviaire battait son plein, le PS battit en retraite sans prendre part à un vote qui opposait pourtant durement l’opposition emmenée par Objectif Réunion. « N’insultez pas l’avenir », demandait Paul Vergès quelques minutes avant le vote, exhortant l’ensemble des conseillers, toutes convictions confondues, à soutenir la construction du Tram train, seule capable de relancer l’emploi et de la reprise à La Réunion. Michel Vergoz n’entendit pas résonner ces mots : mettant à profit une suspension de séance qu’il avait lui-même demandée pour « réfléchir », la tête de liste PS avait quitté l’hémicycle, laissant pour consigne et pour procuration de « ne pas prendre part au vote ».
Logique de défaite
Le 21 mars dernier, la désunion voulue une nouvelle fois par le Parti socialiste a fini par provoquer la catastrophe : majoritaires à La Réunion comme dans presque toutes les Régions, les forces de progrès subissaient une défaite face à l’UMP de tendance dure dirigée par Didier Robert. Cet ensemble de pratiques amène à s’interroger : les dirigeants du PS ont-t-ils réellement la volonté et le désir de parvenir aux affaires dans le monde tel qu’il est ? Ou nourrissent-ils le fantasme de l’hégémonie, rêvant d’être seuls pour gouverner la Région ?
Geoffroy Géraud-Legros
Normaliser les relations avec le PCR ?
Avant-hier, Gilbert Annette a évoqué la nécessité d’une relation « normalisée » avec le Parti communiste réunionnais (PCR). Après la défaite provoquée par la défection socialiste, une réflexion s’impose en effet sur la nature des rapports entre les deux organisations, où il faut bien le dire, les réflexes républicains ne vont que dans une seule direction. Qu’on se souvienne de l’élection législative de 2007 : disposant de plus de 10% des suffrages, Élie Hoarau aurait fort bien pu choisir de se maintenir face à Patrick Lebreton. Cette décision aurait engagé le risque de faire gagner l’UMP Michel Fontaine. En conséquence, le candidat PCR s’est naturellement désisté pour assurer la défaite de la droite. Le PCR montrait là bien peu de rancune, et oubliait les injures de Michel Vergoz « zembrocal avarié », le jeu commun de ce dernier et de son homologue Jean-Claude Fruteau avec l’UMP Jean-Paul Virapoullé, la rupture organisée lors des élections régionales de 2004. Aujourd’hui, alors que l’enjeu était immense, la simple tradition républicaine a été superbement ignorée par le PS réunionnais. Dans les derniers jours de la campagne, Michel Vergoz a clairement énoncé son idéologie : pour lui, Vergès ou Robert se valaient. Quel responsable communiste s’est jamais hasardé à mettre sur le même plan socialistes et droite « dure » ? Décidément, il est plus que temps de normaliser les relations entre les deux partis.
G.G-L
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Messages
25 mars 2010, 10:02, par richardon
il n’est pas possible de s’allier ave le Ps à la réunion pour faire à nouveau élire lebreton et compagnie ! en 2012 cela serait injuste de faire élire un député PS avec les voix du pcr ! le PS réunionnais est responsable de l’élection de didier robert, ce qui va porter préjudice à l’immense majorité des réunionnais, la seule chose que mérite vergoz c’est le maintient des listes PCR au 2iéme tour en 2012 ! sinon les électeurs ne comprendraient pas la stratégie inverse !