
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
6 février 2007
Le 14 décembre, au terme de dix mois d’auditions, les deux rapporteurs, Augustin Bonrepaux (PS) et Marc Laffineur (UMP) ont présenté les conclusions d’un rapport d’information ayant pour objet d’étudier les transferts de compétences de l’Etat aux collectivités territoriales et leur financement à la Commission des Finances de l’Assemblée nationale. Ce rapport de Marc Laffineur (UMP) et Augustin Bonrepaux (PS) souligne en premier lieu que l’Etat remplit et parfois au-delà les obligations qu’il s’est fixées dans la loi de décentralisation d’août 2004 en matière de financement des compétences transférées.
Selon Marc Laffineur, sur les 23 compétences transférées, les problèmes de financement n’affecteraient aujourd’hui que 1% du total. Reste que le montant de cette compensation n’a pas toujours bien été évalué, soit en raison du mécanisme choisi pour l’opérer, soit plus fondamentalement en raison de l’évolution des dépenses que cela induisait pour la collectivité. ?Le cas du RMI est exemplaire en raison de l’ampleur de la montée de charges, fin 2003. Son financement, qui s’élève à 1,5 milliard d’euros pour la période 2004-2007, ne suffit pas à combler le coût que l’augmentation du nombre d’allocataires a entraîné pour les départements : 350 millions qui manquent toujours pour l’année 2006. Pour l’avenir, les rapporteurs préconisent l’intégration du Fonds de mobilisation départementale pour l’insertion (FMDI) dans la base indexée de compensation aux départements, soit 500 millions d’euros par an.
?Autre gros point noir, l’Allocation personnalisée à l’autonomie (APA) pour laquelle il manque 1,5 milliard d’euros. ?Par ailleurs les dépenses des collectivités se sont alourdies en raison des transferts de compétences. Ceux-ci ont contribué à accroître les disparités entre collectivités, qui se sont creusées depuis 2004. Pour y remédier, les rapporteurs proposent la création de nouveaux outils de péréquation, comme un « mécanisme d’écrêtement des droits de mutation à titre onéreux », eux aussi très inégalement répartis entre collectivités. Selon Marc Laffineur, ces droits de mutation ont enregistré « une augmentation considérable de 800 millions d’euros en 2004 et 2005 ». Ils ont permis une augmentation de l’autofinancement de 13% dans les départements (près d’1 milliard d’euros) et de 15% dans les régions (700 millions d’euros), précise-t-il.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)