Le SNAEN-UNSA contre le transfert des TOS et des précaires

15 novembre 2005

Dans un communiqué diffusé hier sous la signature de Vincent Baugé, le SNAEN-UNSA soutient les collectivités qui refusent le transfert des TOS et aussi celui des personnels précaires (CEC, CES, emplois-jeunes...).

"Depuis 2 ans, le SNAEN s’oppose au transfert du personnel TOS. Au 1er janvier 2006, le Rectorat, donc l’État, continuera à gérer et payer les personnels TOS.
Nous avons rencontré, le jeudi 10 novembre, M. Houssen Amode, directeur général des Services de la Région Réunion ainsi que M. Michel Lebloas, directeur général des Services du Conseil général.
La position des collectivités est simple :
Les personnels TOS titulaires restent gérés et payés par l’État, la Région Réunion et le Département demandent à ce que les personnels précaires restent également gérés par l’État.
Il n’est pas question pour les collectivités de laisser qui que ce soit "sur le
bord du chemin"
. Les collectivités, par leur refus de signer les conventions de transfert des TOS, sont opposées à notre transfert. Comment peuvent-elles accepter le transfert des précaires ?
Le SNAEN est en accord avec la demande des collectivités : les personnels TOS restent gérés et payés par l’État, nous demandons à ce que les personnels précaires restent également gérés et payés par I’État.
Nous combattons depuis 2 ans le transfert des TOS, devons-nous aujourd’hui accepter le transfert des personnels précaires ?
Nous venons de faire connaître notre position à M. le recteur. Nous restons opposés au transfert des personnels, qu’ils soient titulaires comme précaires.
La position des collectivités, comme la nôtre, fera l’objet de discussions dans les jours à venir, et s’il le faut, nous irons dans rue ; au moment opportun."


Signaler un contenu

Un message, un commentaire ?


Témoignages - 80e année

La pès kabo

5 juillet, par Christian Fontaine

Kan i ariv Novanm-Désanm-Zanvié, domoun i réziste pi ek la salèr. Zène-zan i mars dann somin, zène-fi i roul an dékolté ; sétaki i rod in manir po (…)


+ Lus