
« Dann tan la marine a voil ! »
27 juin, parDan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Une partie du PS appelle à voter contre un projet de loi du gouvernement
10 décembre 2014, par
À peine énoncé le 7 décembre que, le projet de loi du ministre de l’économie, Emmanuel Macron, fait polémique, pourtant celui-ci est officiellement présenté en Conseil des ministres, ce 10 décembre. Le texte prévoit 12 dimanche travaillés au lieu de 5 actuellement.
Après avoir évoqué la remise en cause des 35 heures, une réforme sur l’assurance-chômage, Emmanuel Macron récidive, cette fois-ci avec le travail du dimanche. Un champ de bataille entre la Droite, favorable, et la Gauche, désormais divisée.
Salué par les élus de droite, Emmanuel Macron veut accroître l’activité économique en récupérant les dépenses des touristes, plus tentés à aller à Londres quand les magasins sont fermés à Paris. Ce projet de loi cantonné pour l’heure à la France hexagonale n’a pas encore été décliné dans les Outremers, où l’activité touristique est l’une des principales ressources économiques.
Décrié par une bonne partie de la Gauche, Emmanuel Macron, auteur du projet de texte, a tenté d’apaiser la fronde, en évoquant des compensations, « sur le nombre de dimanches ouverts, je suis ouvert au débat », indique le ministre de l’Économie, rappelant que les zones concernées seront restreintes à quelques places très touristiques.
Alors que le projet de loi n’avait pas encore été présenté, il divisait déjà fortement la gauche, y compris les socialistes. Laissant présager un nouveau rapport de force entre l’exécutif et les députés socialistes, qui ont fait part depuis deux ans de leur mécontentent face à la politique de François Hollande.
Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, a déjà lancé des appels « à l’unité » sur le texte. Voulant une majorité, ce dernier a assuré que s’il y a des “réserves”, « après le temps du débat, il fau(dra) le temps du compromis ».
Malgré cette tentative, l’aile gauche du PS a appelé pour la première à fois à « voter contre », y voyant « la remise en cause de tous les combats historiques de la gauche ». Le député “frondeur” Christian Paul, proche de Martine Aubry, a dénoncé un texte qui participe à « une mise sous pression des salariés ».
De son côté, le premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, a plaidé pour que le projet de loi, qu’il a qualifié de « fourre-tout », revienne « à son objet initial, c’est-à-dire la lutte contre la rente ».
Certains députés socialistes ont dénoncé l’assouplissement du travail dominical pour les commerces non alimentaires, qui s’ouvriraient 12 dimanches par an au lieu de 5 aujourd’hui. Le Parti socialiste, dans un “memorandum” envoyé la semaine dernière au ministre de l’Economie et dont l’Agence France Presse est parvenu à obtenir une copie, écrit qu’il n’est « pas nécessaire d’aller sur l’ensemble du territoire national au-delà de cinq dimanches ouverts par an ».
Le parti ne souhaite pas non plus « banaliser le travail de soirée jusqu’à minuit », jugeant que le travail au-delà de 21H00 reste « un travail de nuit ». Raison pour laquelle, la rue de Solférino propose une « compensation salariale » devant demeurer « la règle », et ce « pour toutes les entreprises de plus de 10 salariés ». Le parti souhaite une « loi de gauche » pour la croissance et l’activité.
De son côté, le Premier ministre, Manuel Valls s’est dit “optimiste” sur l’adoption du projet de loi, car « à partir du moment où il y a un bon débat et nous arrivons les uns et les autres à avancer dans un seul intérêt qui est l’intérêt général ». Pour Pierre Laurent, secrétaire national du PCF, cette loi « tout entière (est, NDLR) tournée vers la déréglementation sociale ».
La majorité recherchée sera également difficile à trouver au sénat, car « on n’aborde pas ce texte avec un état d’esprit de soutien positif et enthousiaste », a annoncé à l’agence de presse, François de Rugy, coprésident du groupe écologiste à l’assemblée nationale. « C’est un texte qu’il me semble difficile de soutenir », a indiqué la secrétaire nationale d’Europe Ecologie-les verts (EELV) Emmanuelle Cosse.
La contestation vient aussi des professionnels
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