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L’euro s’envole
25 novembre 2004
(Page 16)
Lancé en 1999, l’euro se situe désormais à environ 58% au-dessus de son bas historique de 0,82 dollar, atteint en octobre 2000. Il y a deux mois, la devise européenne s’échangeait encore à 1,20 dollar. Vendredi dernier, l’euro est reparti à la hausse et a inscrit un nouveau record face au billet vert, atteignant 1,30 dollar pour 1 euro sur le marché des changes.
Bien que les États-Unis enregistrent d’importants déficits publics et commerciaux, qu’ils vivent à crédits. Le président George Bush réaffirmait, lors du sommet de l’APEC à Santiago, l’engagement de son administration en faveur du dollar fort. Ses créanciers ne se montrent guère pressants, d’autant que la super puissance américaine saura de toute façon imposer ses conditions de remboursements, confortée par la chute du dollar qui permet des taux d’intérêts dévalués.
Les entreprises américaines ont quant à elles aujourd’hui un boulevard ouvert sur le marché mondial, avec une monnaie qui abat toute concurrence. Le secrétaire américain au Trésor, John Snow, estime d’ailleurs qu’"avec des taux d’intérêts bas et une inflation toujours basse, les conditions sont réunies pour que la croissance vigoureuse se poursuive".
L’économie américaine ne se sent pas inquiétée et se dit même sur la voie d’une croissance solide. John Snow précise également que les États sont favorables à une "valeur des devises fixée sur des marchés ouverts". Les entreprises européennes, si cette montée en flèche de l’euro se poursuit, seront exclues du jeu de la concurrence et devront miser la carte de la productivité, avec les conséquences néfastes attendues en termes d’emplois, de conditions salariales.
Les vingt principales économies mondiales réunies en sommet (G20) à Berlin, le week-end dernier, ont appelé les États-Unis à réduire leur déficit, à consolider son budget sur le moyen terme. Elles ont souligné les risques liés à la flambée du baril du pétrole, tout en restant muettes sur la baisse du dollar.
Après consensus, les ministres des Finances et banquiers centraux des pays du G7 (EU, Japon, Allemagne, France, Grande-Bretagne et Canada), rejoints par les grandes économies émergentes comme la Chine, l’Inde, le Brésil ou la Turquie, n’ont pas souhaité traiter de la question de la baisse du dollar, faute d’un accord entre Américains et Européens sur la conduite à tenir.
La question des parités des taux de change a, elle aussi était occultée des débats centrés sur les déséquilibres et déficits mondiaux. Hans Eichel, ministre des Finances du pays d’hôte a seulement répété que "les mouvements brusques (des taux de change) ne sont pas désirables".
Les pays du G20 se sont donc limités à une déclaration de principe en estimant que les déséquilibres économiques mondiaux ne devaient pas conduire à des mouvements "abrupts" de change.
Le G20 se veut optimiste. Si les risques de baisse de la croissance se sont faits ressentir dernièrement, c’est en raison de la volatilité des prix du pétrole, des déséquilibres externes persistants et des préoccupations géopolitiques. Grâce à une croissance élevée et une inflation basse, l’environnement macro-économique de l’économie mondiale reste "favorable" pour le G20 qui attend que cela se poursuive de la sorte l’année prochaine.
Estéfany
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