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Conséquences du cyclone Chido
15 mars, par
À la suite des ravages causés par le cyclone Chido et aux nombreuses interrogations soulevées quant à la gestion de cette catastrophe, le sénateur mahorais Saïd Omar Oili et les sénatrices et sénateurs des groupes socialiste, communiste et écologiste demandent la création d’une commission d’enquête.
Chido a dévasté Mayotte, causant des pertes humaines tragiques et des dommages matériels considérables. Face à l’ampleur du désastre, de nombreux citoyen·nes, élu·es locaux et organisations de la société civile ont dénoncé l’absence de réponse adéquate de l’État, notamment en matière de prévention, de gestion de crise et d’aide aux populations sinistrées.
La loi d’urgence pour Mayotte était nécessaire pour faciliter l’action des acteurs publics et privés. Cependant, plus de deux mois après le passage du cyclone, la situation de la population mahoraise reste critique. L’aide semble avoir du mal à arriver jusqu’aux familles, qui manquent de tout : eau, aide alimentaire, bâches de protection... Les accès aux soins, aux télécommunications ou encore à l’électricité ne sont pas rétablis dans tout l’archipel. Il convient ainsi de s’interroger sur l’organisation des secours portés aux victimes.
Pour dépasser les constats et répondre aux interrogations légitimes des Mahorais, les trois groupes de gauche et écologiste du Sénat demandent à Gérard Larcher, président du Sénat, la constitution d’une commission d’enquête sénatoriale sur la gestion de la crise après le passage du cyclone Chido à Mayotte. Elle se penchera sur trois axes majeurs : l’efficacité des dispositifs de prévention et d’alerte lors de l’approche du cyclone ; la coordination des secours et des moyens déployés par l’État et les acteurs humanitaires ; la prise en charge des blessés, des sinistrés et des personnes décédées.
Ce travail parlementaire doit permettre de formuler des recommandations concrètes pour améliorer les dispositifs de prévention pour ce territoire particulièrement exposé, qui seront également utiles pour l’ensemble des territoires ultramarins soumis, du fait de leur latitude, à des événements naturels extrêmes. Analyser les dysfonctionnements doit être un préalable pour reconstruire.
Le Sénat, chambre des territoires, doit s’emparer de cette demande pour protéger la population, garantir de bonnes conditions de reconstruction et assurer la résilience des Outre-mer face aux catastrophes climatiques. Les trois groupes de gauche et écologiste du Sénat appellent à une totale transparence des travaux et réaffirment leur engagement à faire la lumière sur l’action de l’État avant et après le passage du cyclone Chido.
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