
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
16 janvier 2019
Pour Emmanuel Macron, certains pauvres ’déconnent’ et remettre l’ISF ’c’est de la pipe’. En quelques phrases le Président a suscité la polémique sur plusieurs fronts, alors que la mobilisation des ’gilets jaunes’ ne s’essouffle pas.
Après avoir assuré que les français n’avaient pas le "sens de l’effort", cette fois, il récidive en assurant qu’il y a des gens en difficulté qui "déconnent". L’opposition dénonce le « mépris » de tous les français.
« Une partie du traitement de la pauvreté est dans les personnes qui vivent en situation de pauvreté. Pas dans le face-à-face entre ceux qui profiteraient d’un côté et ceux qui seraient les vaches à lait de l’autre. Elle est dans un travail collectif très fin. Les gens en situation de difficulté, on va davantage les responsabiliser car il y en a qui font bien et il y en a qui déconnent », a déclaré Emmanuel Macron, lors d’un Conseil municipal à Gasny dans l’Eure, avant l’ouverture du grand débat national de Grand Bourgtheroulde, en Normandie.
Pour Valérie Soyer de Les Républicains, « l’année 2019 débute comme elle s’est achevée. Des débats s’ouvrent mais toujours le même mépris pour les Français ! ». De son côté, Olivier Faure, le patron du PS, a jugé « insupportable » cette « façon de jeter en pâture les plus faibles ».
« Le président de la République veut éteindre un incendie avec du napalm. Il y a chaque jour de nouvelles provocations, des phrases qui blessent. On dirait que le président de la République veut rajouter en permanence de l’huile sur le feu », a dénoncé le député Les Républicains, Eric Ciotti.
« Après les ’’illettrés de Gad’’, ’’les cyniques et les fainéants’’, ’’le pognon de dingue des minima sociaux’’, ’’les Gaulois réfractaires au changement’’, ’’les gens qui ne sont rien’’, voici ’’les pauvres qui déconnent…’’ », a énuméré Régis Juanico, apparenté PS.
Mais pour le chef de file des députés La République en marche, Gilles Le Gendre, le président « parle aussi comme nous parlons tous ». « J’aime bien la vérité, c’est ce que j’aime bien chez le président », a assuré ce dernier.
Cependant pour le député Ugo Bernalicis de La France Insoumise, « à chaque fois qu’il y a des regains de mobilisation, c’est parce qu’Emmanuel Macron s’exprime. Cela se vérifie systématiquement. Qu’il se taise ! ».
"Il ne faut pas raconter des craques : c’est pas parce qu’on remettra l’ISF comme il était il y a un an et demi que la situation d’un seul gilet jaune s’améliorera. Ça, c’est de la pipe", a déclaré le chef de l’Etat.
"Ce que je sais, c’est que si je le faisais demain, les quelques-uns qui étaient en train de revenir et de créer de l’emploi diraient : +on a compris, celui-là il est comme les autres, dès qu’il y a un coup de grisou, lui, il remballe ses idées et il est reparti. Non ! Non !", a assuré Emmanuel Macron.
Pour lui, la question de l’ISF n’est "pas du tout un tabou, ni un totem". Mais "le gouvernement a pris des textes et le parlement a voté ce sur quoi en tant que candidat je m’étais engagé. Donc il n’y a pas de surprise, il n’y a pas de tromperie. Et ça me semble être une bonne règle démocratique de faire ce sur quoi on s’est engagé auprès de ses concitoyens", a expliqué Emmanuel Macron.
"Beaucoup de gens disent : il faut remettre l’ISF comme ça on serait juste (...) D’abord je leur demande : est-ce qu’on vivait mieux avant ? Ben non. Beaucoup de problèmes dont ils nous parlent, pardon de le dire, y compris quand il y avait un ISF très important, il n’étaient pas réglés, leurs problèmes", a-t-il développé, avant de répondre àl’assistance : "ça ne les a pas résolus de le supprimer non plus".
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