
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Débat à l’Assemblée nationale
24 mars
Une proposition de loi vise à interdire les femmes qui portent le voile lors des compétitions sportives. Adoptée par le Sénat le 18 février, elle est actuellement en débat à l’Assemblée nationale.
Des ONG et députés ont dénoncé ce débat insensé. La députée Sandrine Rousseau a dénoncé le projet lors d’un point presse à la sortie des débat : "La France a été le seul pays durant les Jeux Olympiques à interdire ses athlètes de pouvoir porter quelques choses sur les cheveux".
Alors que les institutions internationales comme le Comité International Olympique, la FIFA ou encore les Nations unies ont autorisé "le port du couvre-chef sportif dans les compétitions prouvent qu’une réglementation inclusive peut coexister avec des standards élevés de sécurité et d’équité".
"Je pense qu’il y a des enjeux bien plus importants, et puis surtout (…) la France a un problème avec ça quoi. (…) Ce qui est important, c’est que les femmes fassent du sport. Et je ne comprends pas du tout, la position selon laquelle ça menacerait la République. Cela ne menace pas la République, ça menace par contre les pratiques individuelles. Et la réalité, c’est que le sport est important et que par ailleurs, tous les pays du monde l’acceptent. Donc pourquoi, nous faisons exception ? Au nom de quoi", a expliqué la députée.
"Je parle d’islamophobie. (…) On par d’entrisme à chaque fois, la question c’est les femmes qui font du sport, elles ont le droit d’avoir une religion et de faire du sport. On est dans une islamophobie débridée en France, il faut qu’on s’en rende compte. A un moment, on dérive et on a des propos et des attitudes d’un racisme qui devraient nous interroger. Or, on est dans une espèce tolérance de ces propos, de ces dérives, et c’est un sujet".
Pour la Ligue des droits de l’Homme : "cette interdiction ne prend pas en compte les réalités des terrains. En effet, elle constituerait un frein pour des femmes et des filles dont la pratique sportive est déjà bien inférieure à celle des hommes. Elle serait la source d’isolement social, de sédentarité, de mal-être psychologique et d’humiliation supplémentaire, pour les sportives exclues ou obligées d’enlever publiquement leur voile. Elle porterait atteinte à la pérennité des clubs dont l’activité bénévole repose en partie sur l’implication de femmes qui portent le voile. Enfin, elle restreindrait les opportunités de voir des talents français s’épanouir sereinement. En n’entravant pas la pratique du sport, nous favorisons sa féminisation, un objectif que la France s’est fixé, notamment à travers l’organisation des premiers Jeux olympiques et paralympiques paritaires en 2024".
De son côté, Amnesty International a dénoncé ce projet, assurant qu’il s’agit d’une "atteinte grave à la liberté de conscience. Elle porte aussi atteinte aux droits de participer à la vie culturelle, de disposer de son corps et de ne pas être discriminée, pourtant garantis par les conventions internationales ratifiées par la France".
La ligue a expliqué que "choisir d’interdire le port du couvre-chef sportif revient à priver des milliers de femmes qui portent le voile de cet épanouissement personnel et collectif".
Selon l’observatoire de la laïcité, "la laïcité garantit la liberté de conscience, la liberté de religion et de culte, de laquelle découle la liberté vis-à-vis de la religion, et celle de manifester des convictions, quelles qu’elles soient - religieuses ou non -, mais toujours dans les limites de l’ordre public".
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