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Regard de l’étranger
30 octobre 2008
Le plan financier de Nicolas Sarkozy ne vise qu’un objectif : sauver le capitalisme et, donc, la maximisation des profits. On est loin d’un « New Deal de gauche », estime le quotidien allemand “Die Tageszeitung”.
Nicolas Sarkozy veut injecter 10,5 milliards d’euros dans les six plus grandes banques de son pays. Il veut assouplir la taxe professionnelle. Et il veut intervenir dans les secteurs clés de l’industrie à l’aide d’un fonds "souverain" doté de 175 milliards d’euros. Compte tenu de la crise qui frappe la deuxième économie de l’Union européenne, ces déclarations ne doivent pas surprendre. Elles incarnent le maintien d’une vieille tradition française [d’interventionnisme étatique]. De plus, elles n’ont pas d’alternative dans l’espace public, face à une opposition de gauche réduite au silence dans le domaine de la politique économique. Ses efforts suscitent la sympathie de ses compatriotes, les derniers sondages le montrent.
A la différence d’Angela Merkel, qui tergiverse et rechigne à prendre des mesures au niveau européen, le président français donne ces temps-ci l’impression d’être un homme d’action. Fidèle à lui-même, il agit seul et en toute hâte. Un style critiquable. Mais, au lieu de vérifier si ces décisions peuvent servir les intérêts de l’économie française, voire européenne, le camp allemand suggère que le président français utilise la crise pour mettre en place une sorte de néo-socialisme. Aussi utilise-t-on, pour caractériser sa politique, les termes très connotés de "nationalisation" ou de "nationalisation partielle". Peut-être les réactions de cet ordre attisent-elles [de part et d’autre] les ressentiments nationaux, mais elles ne correspondent pas à la réalité. Car il est notoire que Sarkozy ne nourrit aucune intention hérétique à l’égard du dogme libéral : ne cherche-t-il pas, par exemple, à accélérer le retrait de l’Etat des hôpitaux et autres services publics ?
En fait, Nicolas Sarkozy veut "soutenir" les entreprises afin de les renforcer face à la concurrence internationale. Il ne s’efforce pas d’imposer un contrôle de l’Etat sur les banques, ni d’orienter la politique des entreprises en faveur du plus grand nombre, salariés ou consommateurs. Le président français n’est pas en quête d’un New Deal ; il sert la concurrence et la maximisation des profits. C’est le capitalisme qu’il veut sauver. Ce faisant, il colle exactement aux souhaits de la majorité des élites européennes. Seuls son style et les mots qu’il emploie sont un peu différents.
Dorothea Hahn, “Die Tageszeitung” (Traduction : Courrier International)
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