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Dans le ’JIR’ d’hier
23 août 2008
Preuve est faite qu’il n’y a pas d’acte innocent lorsque l’on est un responsable politique ou administratif. L’article publié hier dans le ’JIR’ montre clairement qu’il y a une ligne politique pour déstabiliser la Région, et notamment son président. Quand on connaît les relations entre ce journal et la haute administration, on ne peut que s’interroger.
Lorsque l’on est responsable politique ou administratif, il n’y a pas d’acte innocent. Mercredi soir, la préfecture adresse à toutes les rédactions un communiqué annonçant que le lendemain, le préfet aura « le plaisir d’inaugurer » la réhabilitation du lycée Leconte de Lisle alors que la Région est le propriétaire des bâtiments, ainsi que le maître d’ouvrage de ce chantier. Puisque l’Etat n’a pas respecté le domaine de compétence de la Région, le président de la Région décide de ne pas venir à la cérémonie. Lors de cette dernière, le préfet fait une mise au point, indiquant que ce communiqué est une erreur.
Jeudi après-midi, Paul Vergès explique à la presse la raison de sa décision en prenant acte de la mise au point du préfet. Le président de la Région constate que depuis quelques mois, sa collectivité est la cible d’une série de mises en cause de la part de représentants du gouvernement. Et il indiquait qu’il comptait vérifier si cette série était le résultat d’une accumulation de maladresses, ou alors si cela traduit une ligne politique visant à déstabiliser la Région, en particulier son président.
Hier, dans le "JIR", un article s’en prend de manière virulente à Paul Vergès. Ce journal profite de l’événement créé par l’acte du préfet pour dénoncer le président de la Région en des termes tels que « le gros boudage » ou « politique-spectacle », ou encore « crime de lèse-majesté ». Ce point de vue donne du crédit au communiqué du préfet, bien que celui-ci l’ait corrigé. Mais à partir du moment où ce communiqué a été publié, le coup est parti. Et quand une décision est prise, l’opinion est juge.
On constate que l’article du "JIR" met en exergue une déclaration de Thierry Sam-Chi-Tsong, un conseiller régional de l’opposition, qui dans son communiqué manifeste tout son soutien à Yves Jégo : « dans le dispositif de continuité territoriale financé entièrement par l’État, n’a-t-on pas vu la Région communiquer à outrance ». Ce choix éditorial contredit la mise au point du préfet. Il montre qu’il existe une ligne politique pour déstabiliser la Région, et en particulier son président. Sinon, pourquoi le "JIR" utiliserait-il l’incident créé par le préfet de cette façon, en lui donnant un contenu politique ?
De plus, quand on connaît les relations qu’entretient le "JIR" avec la haute administration de l’Etat à La Réunion, ceci donne encore plus de poids à cette conclusion. Preuve est faite qu’il n’y a pas d’acte innocent, quand on est un responsable politique ou administratif.
M.M.
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