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Communiqué du Parti communiste réunionnais
20 février 2014, par
Le PCR se félicite du vote d’une résolution reconnaissant la responsabilité morale de l’Etat dans la déportation de 1.600 enfants réunionnais vers la France. Le PCR rappelle qu’au moment des faits, il était le seul parti à dénoncer cette politique. La décision des députés montre que le PCR avait raison de s’élever contre la politique officielle de la France dans les années 60 – 70.
Hier, l’Assemblée Nationale a reconnu la responsabilité morale de l’Etat dans la déportation de 1600 enfants réunionnais vers des départements de France dans les années 60 – 70. Cet exil forcé s’inscrivait dans la droite ligne de la politique de Michel Debré à La Réunion qui pensait régler ainsi le problème de l’emploi. Et cela au lieu de mettre en place une politique de développement tel que le souhaitait le PCR.
Ce drame des enfants de la Creuse se rajoutait à la triste politique du BUMIDOM dont l’objectif était de faire partir des jeunes qui selon Michel Debré et ses amis (es) devaient être « soustrait à l’influence du Parti Communiste qui dénonçait la poursuite du système coloniale à La Réunion et réclamait l’autonomie ».
Cette cynique orientation contre les jeunes réunionnais s’est également retrouvée à travers l’ordonnance d’octobre 60, Ordonnance Debré, qui a exilé des fonctionnaires hors de La Réunion.
Le PCR était le seul parti politique à dénoncer cette politique du pouvoir de l’époque, ce qui lui a valu toutes sortes d’insultes. Aujourd’hui, 50 ans après les faits, la vérité s’étale au grand jour. Non seulement à La Réunion mais aussi aux yeux de l’opinion publique française.
Le PCR ne peut que se féliciter de la décision prise par la majorité de l’Assemblée Nationale. Décision qui montre que 50 ans après, il avait raison de s’élever contre la politique officielle de la France dans les années 60 – 70.
Les victimes et les familles des enfants de la Creuse trouvent là un réconfort mais ne retrouveront jamais ce qui leur a été volé au moment le plus précieux de leur vie.
Cette page qui ne s’inscrit pas parmi les plus glorieuses de l’histoire de France ne doit pas tomber dans l’oubli. Elle doit être connu de tous. C’est le meilleur hommage qu’on puisse rendre aux 1600 enfants réunionnais déportés ainsi qu’à leurs familles.
P/ Le Secrétariat général
Yvan DEJEAN
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