
Kèl volonté zénéral ! In pé la boir kossa !
30 juin, parMézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Réforme des retraites
16 septembre 2019
Le président Emmanuel Macron a reçu le secrétaire général de la CFDT, ainsi que le numéro un de l’Unsa, qui ne sont pas opposés à l’instauration d’un ’système universel’ de retraites par points, contrairement à la CGT, dirigée par Philippe Martinez.
Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, a demandé, dimanche 15 septembre dans "Dimanche en politique" sur France 3, que son syndicat soit reçu par Emmanuel Macron sur la réforme des retraites, comme l’ont été la CFDT et l’Unsa.
Selon lui, "c’est une question de démocratie. Nous demandons le même traitement que les autres. Il faut qu’il nous reçoive pour qu’on lui explique toutes les propositions de la CGT pour améliorer notre système de retraites".
Alors qu’Emmanuel Macron a reçu Laurent Berger, le secrétaire général de la CFDT, et le numéro un de l’Unsa, Laurent Escure. Ces deux syndicats ne sont pas opposés à l’instauration d’un "système universel" de retraites par points. "C’est peut-être ça l’acte 2 (du quinquennat, ndlr). On discute davantage avec les syndicats, mais pas avec tous les syndicats", a ironisé Philippe Martinez sur France 3.
Sur le fond de la réforme des retraites, Philippe Martinez veut le maintien des régimes spéciaux comme "des systèmes complémentaires" au régime général, "même s’il faut mieux harmoniser un certain nombre de choses" et "prendre en compte l’évolution du monde du travail" avec les études longues, entre autre.
D’après lui, il faut "partir du régime de retraite que nous avons tous et prendre en compte la pénibilité pour tout le monde. C’est un droit et la question est de savoir comment on étend ce droit à plus de monde".
Philippe Martinez souhaite un âge de départ à la retraite fixé "à 60 ans" et "plus tôt pour les métiers pénibles". Il a aussi jugé qu’une proposition qui consisterait à n’appliquer la fin des régimes spéciaux qu’aux futurs entrants n’était "pas négociable".
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