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Législatives à Saint-Denis : Succès du débat sur la démocratie organisé par l’union PCR-Insoumis
3 juin 2017
Le débat animé hier par Julie Pontalba, candidat de l’union PCR-France Insoumise dans la 1ere circonscription, a montré comment la 6e République est un outil au service de la moralisation de la vie publique.
Elsa Mousse a tout d’abord présenté le projet de 6e République. Cette proposition part du constat que la population ne consent plus aux règles actuelles. Cela se manifeste par la hausse de l’abstention et du nombre de bulletins blancs. Pour arriver à cette 6e République, il est nécessaire qu’un certain nombre de députés agissent pour convoquer une Assemblée constituante. Pour la France Insoumise, cette Constituante sera composée de députés élus et tirés au sort, leur point commun sera de n’avoir jamais exercé de mandat électif. Elle rédigera ensuite une nouvelle Constitution qui sera soumise à un référendum, c’est la 6e République.
Cette nouvelle Constitution comportera l’ensemble des droits fondamentaux actuels auxquels s’ajouteront de nouveaux, comme celui à l’interruption volontaire de grossesse, à la contraception et plus largement à la liberté d’utilisation de son corps.
Elle comprendra la règle verte, qui oblige à préserver l’environnement, ainsi que le droit opposable au logement.
Au sujet de la moralisation de la vie politique, tout élu condamné pour corruption dans le cadre de ses fonctions sera inéligible à vie.
La 6e République propose également l’élection de l’Assemblée nationale à la proportionnelle. Car avec le mode de scrutin actuel, 96 % des sièges sont détenus par des partis qui représentent 30 % des inscrits, 70 % des citoyens n’ont donc pas de représentation à l’Assemblée nationale. Le gouvernement ne pourra plus utiliser l’article 49-3 de la Constitution actuelle pour faire adopter un texte sans débat, tandis que les lobbys trouveront porte close au Parlement.
Le vote sera rendu obligatoire, et entraînera la reconnaissance du vote blanc. Les citoyens auront le pouvoir de révoquer les élus s’ils n’appliquent pas la politique pour laquelle ils ont été élus. La population pourra également proposer des lois et les abroger.
C’est dont par une rédéfinition complète de l’organisation des pouvoirs politiques que sera réglé le problème de moralisation de la vie publique.
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