
Turbulence à la Mairie de Saint-André
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Selon l’OCDE
1er décembre 2004
(Page 16)
La France devrait enregistrer une croissance de 2% en 2005, a estimé l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui revoit en forte baisse sa précédente prévision de 2,6% dans ses perspectives économiques d’automne parues hier.
Selon ce rapport, le déficit public français en 2005 devrait s’établir à 3,1% du PIB et le taux de chômage à 9,7%.
L’OCDE souligne que la vigueur de la croissance française enregistrée au premier semestre 2004 a été a suivie au troisième trimestre d’un "ralentissement d’une ampleur inattendue", avec un PIB qui "a à peine augmenté".
L’activité économique en France, soutenue en début d’année par la demande des consommateurs, la croissance des exportations et le retournement de l’investissement des entreprises et de la construction résidentielle, a été handicapée au troisième trimestre par la chute de la consommation privée et de l’investissement fixe, a noté l’OCDE.
Malgré le coup d’arrêt enregistré au troisième trimestre 2004, une reprise de la croissance est probable au quatrième trimestre 2004, puis en 2005, a indiqué l’OCDE, qui estime que le taux de croissance de la France devrait ensuite à nouveau accélérer pour atteindre 2,3% en 2006. Le nouveau ministre français des Finances Hervé Gaymard a déclaré hier matin que le gouvernement gardait "le cap" d’une croissance de 2,5% en 2005, rectifiant le chiffre de 2% qu’il avait cité peu auparavant.
Pour la zone euro, l’OCDE table sur un taux de 1,8% cette année, de 1,9% en 2005, puis de 2,5% en 2006. Pour les Etats-Unis, elle prévoit respectivement 4,4%, 3,3% et 3,6%. Pour le Japon, elle pronostique 4%, 2,1% et 2,3%.
(Source : Xinhua)
Reprise en 2005 ? en 2006 ?
Pour mieux comprendre l’importance du pétrole, il est cependant nécessaire d’aller au-delà du court terme. Dans un monde où les agents économiques se projettent plus facilement dans l’avenir, l’incertitude sur les développements à venir en matière de pétrole peuvent avoir plus d’incidence sur la situation conjoncturelle que, par exemple, les changements au mois le mois des prix du marché. (...)
Ainsi, le prix du baril retrouvera rapidement les niveaux peu élevés qui prévalaient il y a trois ou quatre ans. La baisse pourrait, en premier lieu, ne pas être rapide dans un contexte où les incertitudes géopolitiques et la volatilité des prix du brut tendent à inhiber l’investissement dans de nouvelles installations pétrolières. Plus fondamentalement, il apparaît enfin que les prix du pétrole, lorsqu’ils redescendront, finiront par se stabiliser autour de niveaux plus élevés que ceux qui prévalaient dans les années 90. (...)
Appréhendée dans une perspective géographique, la reprise attendue devrait bénéficier du dynamismede la zone asiatique, notamment en Chine où l’activité a accéléré au troisième trimestre après un ralentissement bienvenu en début d’année, et aussi au Japon. (...)
La croissance mondiale devrait aussi se trouver stimulée par des perspectives favorables qui s’offrent à l’Amérique du Nord. Il n’est pas aussi certain en revanche que l’Europe continentale sera en mesure d’apporter sa propre contribution via une forte reprise de la demande interne. Sur la question européenne, ces “Perspectives économiques” font un pari optimiste mais raisonné. Elles tablent sur un redémarrage significatif de la demande intérieure au sein de la zone euro en 2005-2006, alors même qu’en parallèle le commerce mondial et l’activité dans la zone OCDE n’accéléreraient pas. L’Europe continentale, et plus spécialement l’Allemagne, devraient donc trouver en leur sein, le ressort suffisant pour s’engager sur la voie d’une reprise autonome qui les placerait sur une trajectoire decroissance plus élevée. Pour être à même de se matérialiser pleinement, ce scénario requiert une certaine dose de stabilité, qu’il s’agisse des prix pétroliers ou du taux de change. Un environnement plus apaisé permettrait en effet à une zone euro traditionnellement peu résiliente d’engager son rattrapage vis-à-vis despays à plus forte croissance.
(Source : “Perspectives économiques” n°76 - OCDE)
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