
« Dann tan la marine a voil ! »
27 juin, parDan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Après la mise au point de Christian Estrosi
10 octobre 2007
Jean-Paul Virapoullé n’a pas été le seul à comploter ouvertement contre le tram-train. Pendant la campagne présidentielle, il avait des alliés dans la Direction locale du PS pour attaquer violemment le Protocole de financement signé à Matignon.
La semaine dernière, la visite de Christian Estrosi a permis une clarification : le Protocole de financement du tram-train sera respecté, l’État honorera son contrat et le secrétaire d’État souligne qu’il n’est pas question de remettre en cause à chaque fois un engagement de l’État.
Le matin précédent cette déclaration, le sénateur-maire de Saint-André avait confirmé combien il œuvrait pour démanteler le financement du tram-train. Mais ce genre d’attitude n’est malheureusement pas isolé.
Il suffit de se rappeler que le 19 janvier 2007, Gilbert Annette, Jean-Claude Fruteau et Michel Vergoz ont violemment critiqué le protocole signé à Matignon. Une suite dans la logique de la position de la fédération socialiste lors du débat public sur les déplacements en 2004 : non au tram-train.
Candidate à la Présidentielle, Ségolène Royal avait publiquement dit approuver le protocole, mais pour autant, Michel Vergoz a refusé son vote à cet accord. Le 12 février, la Direction du Parti Socialiste avait infligé un démenti à Gilbert Annette et Jean-Claude Fruteau. Or, le lendemain, Michel Vergoz déclarait à la presse sur la route du Littoral et le tram-train que « nous n’avons aucune garantie tous risques de l’État sur ces deux projets ; il existe des incertitudes lourdes » ("Le Quotidien" du 14 février 2007).
Ce qui pouvait signifier qu’en cas de victoire de Ségolène Royal, candidate du Parti Socialiste, à la Présidentielle, la continuité de l’État pouvait être remise en cause.
Une mise au point importante n’allait survenir qu’un peu moins de 2 mois plus tard. Le président de l’Alliance avait demandé à tous les candidats à la Présidentielle de prendre position sur les grands travaux, et notamment sur le protocole de financement du tram-train et de la route du Littoral.
Dans la réponse qu’elle a adressée à Paul Vergès en avril 2007, Ségolène Royal s’engageait par écrit à ne pas remettre en cause le tram-train et les autres contrats déjà signés.
Les déclarations de Christian Estrosi apportent une nouvelle clarification à tous ceux qui voudraient remettre en cause un engagement signé par l’État, et qui touche les intérêts vitaux de La Réunion.
M.M.
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