
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Élections cantonales : contre la casse sociale du gouvernement — 12 —
16 février 2011, par
Le budget 2011 prévoit un gel des dotations versées par l’Etat aux collectivités territoriales. Cela repousse d’autant le règlement de la dette due par l’État au Conseil général. Ce sont 360 millions d’euros qui pèsent sur tous les Réunionnais.
Conséquence du transfert des compétences de l’État vers le Département concernant la gestion du Revenu Minimum d’Insertion et de l’Allocation Personnalités d’Autonomie, le gouvernement n’a pas compensé les dépenses, et doit de l’argent au Département. Ce sont 360 millions d’euros qui permettraient de relancer l’activité économique et de créer des emplois.
Alors que la loi de Finances pour le budget 2011 a été votée en décembre dernier et est appliquée depuis le début de l’année, le gouvernement n’a toujours pas réglé ses comptes, et annonce le gel des dotations aux collectivités territoriales.
Le gel des dotations et l’absence de volonté gouvernementale de rembourser la dette due au Conseil général vont conduire la collectivité dans un gouffre financier qui va aggraver la situation économique et sociale des Réunionnais. En effet, le Département devra supporter la dette et trouver des moyens d’équilibrer le budget pour éviter la faillite. Cela se traduira par la baisse des investissements et la diminution des emplois créés. Après l’arrêt des grands chantiers par Didier Robert et l’UMP, c’est au Conseil général de porter les conséquences de la politique de casse sociale de Nicolas Sarkozy.
En effet, le gouvernement ne veut pas payer sa dette, et pousse les présidents de collectivité à trouver des moyens pour combler ses dépenses. En signe de protestation, le président du Conseil général de Seine Saint-Denis, le socialiste Claude Bartolone, a du se mettre hors-la-loi pour interpeller l’opinion publique et les autorités sur la situation des collectivités territoriales qui font face chaque jour à la détresse humaine. « Le budget de la révolte » a été adopté en avril dernier, celui-ci est en déséquilibre et se veut un moyen de protester contre l’attitude de l’Etat vis-à-vis de son obligation de compensation intégrale de certaines charges, qui s’élève pour la Seine Saint-Denis rien que pour 2010 à 75 millions d’euros.
Céline Tabou
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