
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
Plus de 10.000 bacheliers en 2017
17 juillet 2017, par
Le résultat des examens annonce l’obtention du bac pour 50.000 Réunionnais au cours des 5 prochaines années. Comment faire pour que cet atout formidable ne soit pas gaspillé ? Le cadre actuel n’a jamais réussi à résoudre cette question.
L’année scolaire vient de se terminer par la période des examens. Pour le plus connu, le baccalauréat, les résultats ont atteint 87 % de réussite avec plus de 10.000 bacheliers à La Réunion cette année. Pour la plupart d’entre eux, les études vont se poursuivre avec comme perspective l’entrée dans la vie active dans quelques années au plus tard.
Il paraît peu probable qu’au cours de ces 5 prochaines années, le nombre de reçus au baccalauréat puisse s’effondrer. La tendance est en effet à la hausse. Si en nombre d’admis, le résultat se situe aux environs de la cuvée 2017, alors La Réunion aura dans ses rangs 50.000 bacheliers supplémentaires en 5 ans. D’où cette question : comment créer suffisamment d’emplois pour que ces jeunes puissent mettre leur niveau de formation au service du pays ?
C’est une question qui n’a encore jamais été résolue dans le cadre actuel. En effet, à la sortie de l’école, la majorité des jeunes sont au chômage et parmi eux se trouvent de nombreux diplômés de l’enseignement supérieur. Et comme depuis une cinquantaine d’années, l’émigration va faire disparaître une partie de cette jeunesse des statistiques du chômage.
Cela fait en effet plusieurs années que le nombre de bachelier réunionnais se situe aux alentours de 10.000 par an. Or, le solde net des créations d’emploi tous les ans pour tous les Réunionnais, bachelier ou non, se situe bien au-dessous de 10.000. En conséquence, le chômage continue d’augmenter. Une grande partie de la jeunesse n’a alors pour seule alternative que de partir pour échapper à la pénurie d’emploi.
Face à ce problème, la dernière initiative en date remarquable à La Réunion reste les emplois d’avenir. Dans notre île, ces contrats ont permis de recruter des jeunes avec un diplôme supérieur ou égal au bac, ce qui était une dérogation au droit commun. Mais à la fin des trois ans du contrat, c’est le retour au chômage. Car aucune mesure d’intégration n’a été prévue par le gouvernement qui a lancé cette mesure.
La situation est encore plus difficile pour les jeunes qui doivent quitter l’école sans avoir eu le bac. Pour eux, le taux de chômage dépasse 60 %.
Ces conditions soulignent le besoin d’un changement fondamental. Ce n’est pas la volonté affichée par le nouveau pouvoir. Dans son intervention devant les parlementaires le 6 juillet dernier, la ministre des Outre-mer a indiqué vouloir poursuivre la politique du gouvernement précédent. Les Assises des Outre-mer sont décidément mal parties. Avec une telle ambition, une fois de plus l’ampleur de la crise sociale ne pourra pas être prise en compte. Pour le PCR, la solution aux problèmes réside tout d’abord dans la prise de conscience que les Réunionnais sont capables d’élaborer un plan pour y faire face, et de le défendre face au gouvernement. Il propose que des moyens nouveaux soient donnés aux Réunionnais pour mettre en œuvre des dispositions spécifiques, c’est la responsabilité.
Dans le domaine de l’emploi, cette responsabilité peut se décliner dans des mesures spécifiques pour favoriser l’accès à l’emploi dans la fonction publique et le secteur privé. Ce sont par exemple l’obligation de publier toutes les offres de recrutement par Pôle emploi, de faire sortir du mouvement national les postes disponibles dans la fonction publique, et d’obliger un employeur à rechercher prioritairement la réponse à ses besoins au sein des demandeurs d’emploi réunionnais.
M.M.
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Messages
17 juillet 2017, 19:46, par titienne
La lutte et toujours la lutte pour faire émerger des projets et leurs réalisations sur le socle Réunion ! Mais cela n’entame rien, évidemment sur notre ouverture régionale et au monde ! tyembo larg pas .