
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Tribune libre
18 novembre 2015
Le dossier du fonctionnement de la SEM GEM’ PORT des Mascareignes – La Halle a fait l’objet de plusieurs décisions prises lors de deux conseils municipaux récents, en date du 7 avril et du 3 novembre 2015. Comme la presse ne semble pas avoir été invitée à ce dernier conseil de novembre, aucun écho n’a été donné à ces décisions. Il m’est donc apparu nécessaire de faire part d’un certain nombre de réflexions concernant les orientations prises par la municipalité, qui rappelons-le est actionnaire majoritaire de cette société gérant la Halle des manifestations.
Déjà en avril 2015, on avait pu noter la décision du maire d’accroître l’effort financier de la Ville, au travers d’un protocole transactionnel qui l’engage à verser la somme de 535.787 euros dans les comptes de la SEM GEM’ PORT. Cette injection d’argent frais a été renforcée par la décision prise en conseil municipal du 3 novembre d’octroyer un apport en compte courant d’associé à hauteur de 400.000 euros.
Ces contributions financières importantes visent à « réorganiser l’activité et à mettre en œuvre les axes de développement identifiés » de la société. On aurait pu s’attendre donc en toute logique à ce que les options prises dans ce cadre aillent dans le sens d’une préservation, voire d’une augmentation des recettes, ainsi que d’une diminution des charges.
Or ce ne sera pas le cas, si l’on en juge par deux mesures déjà prises et validées par la majorité municipale. La première concerne la suppression pure et simple de la Foire internationale des Mascareignes, qui était déjà en phase avancée de préparation au cours de l’exercice 2014, et alors que cette manifestation était de loin la plus rentable activité de la Halle.
L’autre mesure qui va à contre-courant de la volonté proclamée d’une saine gestion, au niveau de la diminution des dépenses, c’est la décision d’accorder à la représentante de la Ville « occupant au nom et pour le compte de cette dernière le poste de présidente du conseil d’administration assumant la direction générale » des indemnités à hauteur de 5.000 euros par an. Il faut savoir que c’est une première dans l’histoire de la SEM GEM’PORT. Jamais auparavant, depuis sa création en 1994, un élu n’avait perçu d’indemnités pour les responsabilités qu’il exerçait dans la SEM, ni dans aucune autre des organisations extérieures à la Ville. Ces responsabilités étaient jusqu’alors considérées comme inhérentes à la fonction d’élu municipal… mais les temps changent !
Firose Gador
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)