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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Après l’annonce des mesures d’économie
18 avril 2014, par
Quelques heures après son allocution, le Premier ministre, Manuel Valls a été le sujet de vive critique de la part de l’opposition, du PCF, du Parti Gauche mais également de députés socialistes. Ces derniers ont découvert à la télévision les mesures engagées par le gouvernement.
A l’issue du Conseil des ministres sur le pacte de responsabilité et les 50 milliards d’euros d’économies, Manuel Valls a affirmé les efforts budgétaires supportés pour 18 milliards parl’Etat, 11 milliards pour les collectivités et 21 milliards pour la protection sociale.
D’après l’Agence France Presse présente lors de la déclaration du Premier ministre, de nombreux députés PS sont « atterrés » par les annonces faites. Celles-ci sont jugées « inacceptables en l’état sur le fond comme sur la forme », a déclaré mercredi 16 avril Christian Paul, l’un des députés frondeurs qui avaient signé l’appel au gouvernement à un « Contrat de majorité » avant le vote de confiance.
Ce dernier a expliqué que « le groupe socialiste a découvert dans un silence total ces annonces ». Même consternation pour Michel Pouzol, Laurent Baumel et Jérôme Guedj, signataires du contrat. La sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, membre de l’aile gauche du PS, a affirmé que les annonces de Manuel Valls allaient être « très défavorables aux classes modestes et populaires », a relevé l’AFP. Cette dernière a estimé qu’il n’y avait aucune « justice sociale » dans les mesures engagées.
Le secrétaire générale de la CGT, Thierry Lepaon, a affirmé que « ce gouvernement est dur avec les faibles et faible avec les durs », en évoquant une politique « brutale ». « Les mesures annoncées sont régressives » et « visent à accompagner une stratégie d’austérité », a-t-il affirmé sur BFM-TV. Ce sont de « mauvaises nouvelles » comme « le gel des salaires des fonctionnaires » alors qu’au « même moment il a trouvé 30 milliards d’euros pour les entreprises », dans le cadre du pacte de responsabilité.
Le tournant libéral semble se confirmer, le leader de la CGT a rappelé que, lors de sa rencontre la semaine dernière avec Manuel Valls, le Premier ministre avait garanti « des discussions et des concertations » sur les mesures à prendre. Mais « la politique brutale menée par Manuel Valls ne prend pas en compte les propositions qu’ont pu faire les syndicats », a-t-il dénoncé.
De son côté, le numéro un de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, a estimé que les mesures annoncées vont « accroître la précarité et la pauvreté ». Ce dernier a jugé « inacceptable » la poursuite du gel des salaires des fonctionnaires. « De telles décisions vont pénaliser lourdement, notamment les plus défavorisés, et accroître les inégalités, la précarisation et la pauvreté » et feront « également glisser l’économie française vers la déflation », a-t-il affirmé.
Olivier Dartigolles, du Parti Communiste Français, a parlé d’une politique « ’Plus vite, plus fort’, en effet », « mais en aucun cas ’plus juste’ ». Le PCF a dénoncé dans un communiqué de presse qu’en dehors des « arbitrages », « à la marge » du Premier ministre, décidés « sans consultation du Parlement et des partenaires sociaux », le pacte de responsabilité a « gravé dans le marbre une austérité que surveillent de près la Commission européenne et le patronat ». Olivier Dartigolles a assuré, à propos du plan d’économies, « ça va saigner. Et à tous les étages’ ».
Jean-Luc Mélenchon, co-président du Parti de gauche, « Valls fait l’huissier de la Commission européenne. La Commission a dit : ’Vous paierez’. Valls commence la saisie ». De son Europe Ecologie Les Verts, « Les écologistes (...) estiment que ce plan d’économies est incompatible avec la transition écologique et sociale ».
Ajoutant, qu’il s’agit d’une « injustes socialement, ces économies ne permettront en outre aucune réorientation de l’économie pour créer des emplois dans les filières d’avenir et réindustrialiser la France. En l’état, on continue à vouloir soutenir les entreprises de manière indifférenciée sans condition ni garantie. C’est l’annonce d’un immense gâchis qui a été confirmée ce mercredi matin ».
Céline Tabou
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Messages
18 avril 2014, 15:22, par titienne
"Dans l’exercice du pouvoir si les signaux d’alarmes ne" transpercent" pas le blindage bureaucratique, pour ramener les décisions à leur juste valeur on court à la catastrophe, que le pouvoir soit centralisé ou pas.