
« Dann tan la marine a voil ! »
27 juin, parDan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Nouveau remaniement ministériel
28 février 2011, par
En pleine débâcle médiatique, le président de la République Nicolas Sarkozy a décidé de s’exprimer devant les Français. Depuis 3 jours, un gros travail de communication a été fait pour conditionner l’opinion. La démission de Michèle Alliot-Marie sert de diversion pour justifier un nouveau remaniement ministériel. C’est le dixième en 4 ans. A un an du renouvellement de 2012, cette manœuvre témoigne d’une présidence en errance pour faire l’impasse sur l’ampleur du mécontentement populaire.
Dix jours après voir annoncé son soutien à sa ministre des Affaires étrangères, le président de la République a obtenu sa démission. Cette situation a entrainé un nouveau remaniement ministériel.
Une situation sociale et économique tendue
Le gouvernement doit faire face à un énorme déficit public qu’il a lui-même creusé. Il a décidé d’appliquer un plan d’austérité qui repose sur une réduction de dépenses publiques qui s’élève à 100 milliards d’euros, s’étalant sur 3 ans, de 2011 à 2013. A peine l’année 2011 commencée, il est obligé de procéder à de nouvelles mesures d’austérité. Autant dire que les conséquences sociales seront de plus en plus insupportables. Désormais, les mécontentements touchent presque toutes les couches sociales et affaiblissent la crédibilité du chef de l’UMP.
Cette situation nationale s’est aggravée avec l’arrivée de nouveaux éléments non prévus sur le plan international. Aujourd’hui, la France doit faire face à la lame de fond qui secoue le monde arabe, une zone géographique dans laquelle nos gouvernants ont tissé des liens étroits avec les dirigeants politiques, aujourd’hui honnis par leur peuple. Ces derniers sont accusés de vivre la belle vie alors que leur peuple souffre.
Après avoir feint la surprise vis-à-vis de l’ampleur des mouvements de protestation, notamment en Tunisie, Nicolas Sarkozy et ses ministres ont inventé un discours et une posture d’ignorance. Mais, très vite, ils ont été dépassés par la réalité. Les médias les ont confondus avec leurs propos mensongers. Sarkozy a bien tenté une diversion avec l’idée de relancer le débat sur le danger de l’islam, pensant apaiser le mécontentement populaire. Peine perdue, car les changements dans ce monde musulman reposent bien sur des valeurs qui nous sont communes de justice, d’égalité et de démocratie.
Une diversion de plus
Dès lors, pour camoufler son inaction sur le plan social et national, Nicolas Sarkozy décide de s’exprimer devant les Français, donnant l’impression qu’il est un président en action, mais sans cohérence politique. En effet, ce n’est pas ce nouveau gouvernement qui va s’attaquer aux causes profondes de la crise sociale permanente que subissent depuis des années les Français. La politique de casse sociale et de démembrement de la fonction publique ont entraîné la France dans la hausse du chômage, la récession économique, les mesures d’austérité, les suppressions de postes dans la fonction publique, la hausse du prix du pétrole, du gaz, de l’électricité, des matières premières...
Céline Tabou
L’équipe de la Présidentielle en place
Claude Guéant au Ministère de l’Intérieur et Brice Hortefeux conseiller spécial de l’Élysée, à 14 mois de la Présidentielle, l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy se met en place.
Annoncé plusieurs fois dans les médias, le remaniement du mois de novembre n’a pas eu les effets escomptés avec un Nicolas Sarkozy au plus bas dans les sondages. C’est très fâcheux à 14 mois de la Présidentielle.
La polémique autour du séjour en Tunisie de la ministre des Affaires étrangères a offert au président de la République une occasion d’opérer de nouveaux changements.
Le plus notable est l’arrivée au Ministère de l’Intérieur de Claude Guéant, l’ancien directeur de la Police nationale. Quant à Brice Hortefeux, il devient conseiller spécial. Voilà donc la composition de l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy qui s’affine.
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