
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Transfert des TOS : les syndicats rencontrent Raymond Mollard
10 février 2006
Hier, les TOS, représentés par le SGPEN-CGTR et l’UNATOS-FSU, ont été reçus par Raymond Mollard, vice-président du Conseil régional délégué à l’éducation. Ils souhaitent faire le point de l’Académie de La Réunion au regard des transferts.
L’objet de l’entrevue tournait bien évidemment autour du problème du rattrapage des effectifs, un problème entier avant que le transfert soit totalement effectif. Les chiffres régionaux sont clairs. L’Académie de La Réunion souffre d’un manque de personnel quasi historique. Si au plan national, il y a un Technicien ouvrier de service pour 50 élèves, il est déplorable de constater que notre Académie compte un TOS pour 75 élèves. C’est la raison pour laquelle - et c’est la revendication principale des deux syndicats - le SGPEN-CGTR et l’UNATOS-FSU demandent le rattrapage des personnels TOS. Avant que ne soit entièrement réglé ce problème par le truchement d’un véritable plan de rattrapage, les deux organisations syndicales souhaitent que l’État continue à recruter des personnels fonctionnaires d’État. Le 7 mars prochain, une commission nationale de conciliation, qui a pour objet d’arbitrer les litiges liés au transfert des personnels TOS, entre l’État et les collectivités locales, se rendra sur notre île. Ce sera également l’occasion de traiter de la question des crédits de suppléance pour remplacer les personnels titulaires. "Ces crédits seront épuisés d’ici quelques mois", assure Patrick Corré (SGPEN-CGTR).
Pour une gestion cohérente des personnels TOS
"On a aussi évoqué la question de l’Établissement public administratif", déclare Patrick Corré, qui poursuit "c’est comme un syndicat mixte qui aura la charge de gérer les personnels TOS, collèges et lycées". Ainsi, c’est la cohérence de gestion qui est recherchée. Les deux syndicats sont en effet pour "une gestion commune des personnels TOS". Et Patrick Corré de poursuivre "parce qu’avec la loi de décentralisation, chaque collectivité doit gérer ses TOS, ce qui implique un manque de cohérence, notamment pour les mutations de ceux qui veulent rentrer travailler aux pays". Brice Hortefeux, ministre délégué aux collectivités locales dit être favorable à la création d’un établissement public administratif pour la gestion commune des TOS. Mais, est-ce que cela se fera dans les faits ? Nous savons que les deux syndicats, très au fait dans le dossier des transferts, continueront à mener la bataille, pour la défense de ces travailleurs réunionnais, installés ici ou en France. Affaire à suivre.
Bbj
Mézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Au 1er juin, les chiffres du ministère de la Justice ont établi à 84 447 personnes détenues pour 62 566 places. La surpopulation carcérale (…)
Vingt ans après la loi Handicap et au terme de six mois de mission, les rapporteurs Audrey Bélim, (Socialiste, Écologiste et Républicain – La (…)
L’État poursuit les versements d’indemnisations des aides en faveurs des exploitations agricoles sinistrées par le cyclone Garance et la (…)
Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes a assuré que “ceux qui peuvent plus doivent contribuer davantage”, car “nos finances publiques (…)
Les discussions sur l’avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie, menées sous l’égide du président, sont entrées dans le vif du sujet, le 3 (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
La Réunion fait partie des régions françaises les plus touchées par les conséquences sanitaires, sociales et judiciaires de la consommation (…)
Sur proposition de Gérard COTELLON, directeur général de l’ARS La Réunion, Patrice LATRON, préfet de La Réunion, a décidé le retour au niveau 2 du (…)
1993- La disparition de Lucet Langenier. Elle a été brutale, prématurée et a frappé douloureusement non seulement sa famille mais aussi ses (…)