Véronique Denès...

... une des deux femmes candidates dans la 4ème circonscription

29 mai 2007

Véronique Denès est l’une des deux femmes candidates dans la 4ème circonscription. Une première participation en son et celui des Verts dont elle est une militante active. Elle est aussi conseillère régionale et se prononce d’entrée pour « l’arrivée du tram-train jusqu’à la ville de Saint-Joseph ». Et depuis une trentaine d’année, « les écologistes se battent pour la préservation de l’environnement », rappelle-t-elle. Car elle constate qu’aujourd’hui de nombreux partis politiques ont fait de l’écologie leur cheval de bataille.

Pour une agriculture raisonnée...

« L’écologie politique défend les emplois liés à l’environnement et les énergies renouvelables », plaide-t-elle. Tout simplement, on peut créer « des agents de proximité » pour par exemple donner des explications sur la nécessité du tri sélectif. Selon elle, « le modèle agricole actuel serait à revoir ». La mécanisation à outrance des machines a eu pour conséquence de supprimer des emplois. Aujourd’hui, « l’agriculteur se retrouve seul à conduire son tracteur ». De plus « l’exploitant agricole est surendetté », nourrit-t-elle. Les terres avec l’usage intensif des engrais chimiques « sont devenues pauvres ». Elle veut « une agriculture raisonnée ».

... et une assemblée unique

Elle discute aussi énergie fossile et de sa rareté et cherté. Le pétrole ! Aujourd’hui des alternatives existent, mais elles sont coûteuses comme les véhicules mixtes qui roulent au diesel et à l’électricité. Ou pourquoi pas développer « le GPL ou le biocarburant ».

Elle passe au volet emploi. Le vivier pour elle est les pays de l’Océan Indien. Pour ensuite aborder le phénomène de la houle. Elle est, selon Véronique Denès, « une des conséquences de l’effet de serre ».

Elle note que dans cette circonscription que « seulement deux femmes » “postulent” au poste de député. Elle est pour la parité avec un vrai partage des pouvoirs. Elles appellent « les femmes victimes de violences à se réveiller » pour qu’elles puissent enfin défendre leurs droits. Elle aussi se dit pour « une assemblée unique ».

J.-F. N


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