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Législative partielle
10 février 2015, par
Frédéric Barbier, candidat socialiste à la législative partielle dans le Doubs, a battu sa concurrente du Front National, Sophie Montel, avec un score d’à peine 863 voix d’écart, soit, 51,43 % contre 48,57 %.
Ce scrutin très attendu est resté incertain jusqu’au dernier moment. Réel test pour les prochaines élections présidentielles, ces législatives partielles ont mis en exergue un tripartisme (PS, UMP, FN), qui place les partis traditionnels en mauvaise posture. Pour le gagnant Frédéric Barbier, « notre résultat ne me donne pas envie de pavoiser, de sourire ou de faire la fête ».
Et pour cause, « cette élection peut être un tournant de ce quinquennat », a-t-il déclaré devant la presse, dimanche soir. « Il faut garder l’esprit d’union nationale autour des valeurs de la République », a-t-il ajouté. Une union de façade, mise en scène le 11 janvier, suite aux attentats de Paris.
En effet, l’appel à l’union aura durée à peine une semaine, car les élections départementales et régionales de cette année et les présidentielles de l’an prochain, ont rapidement refait surface dans le débat, accompagné de ses manœuvres politiciennes, au lendemain même de la célèbre « marche républicaine ».
Pendant que les problèmes de fond (pauvreté, chômage, morosité économique, inégalités, discrimination, racisme) sont mis de côté au profit de la politique interventionniste de François Hollande, le populisme frontiste prend le pas sur des questions essentielles pour la société. Ce qui explique « un excellent score » pour le FN, comme l’a indiqué Florian Philippot, vice-président du parti d’extrême droite, d’autant plus que « nous étions face au PS + l’UMP + le Front de Gauche + le centre + les Verts ».
Pour le Parti Socialiste, la situation devient inquiétante. Depuis la victoire de François Hollande à la présidentielle de 2012, le parti de la rue Solferino se rend compte que la complaisance (mise en place par François Mitterrand dans les années 1980) envers le Front National pour affaiblir la Droite lui revient comme un boomerang.
Ainsi pour Jean-Christophe Cambadélis, secrétaire national du PS, « le PS a gagné, le Front national, pour la douzième fois de suite, a été battu, mais il y a le feu au lac pour tous ceux qui, comme moi, combattent le Front national et ses idées depuis de très nombreuses années ». Pour ce dernier, « nous sommes dans une situation où le Front national est en dynamique, perturbe l’UMP et l’absence d’unité réelle entre les forces de gauche lui donne des capacités de se déployer ».
Pourtant de nombreux faits historiques mettent en évidence la pression de l’Elysée, dirigée par François Mitterrand, sur les chaînes télévisées pour permettre à Jean-Marie Le Pen, président du FN, de s’adresser aux français. Aujourd’hui, un boulevard est grand ouvert pour le FN qui parvient à grimper dans les sondages et dans les résultats aux élections, comme les récentes municipales et européennes. Une situation qui incombe pour certains socialistes à l’UMP, mais qui montre également la responsabilité des socialistes depuis plus de trente ans.
Jean-Christophe Cambadélis a assuré qu’à « partir du moment où l’UMP n’est pas capable de se désister républicainement face au candidat le mieux placé pour battre le Front national, vous avez un Front national qui progresse », a-t-il expliqué sur France Indo, lundi 9 février. Une attaque directe visant à appeler les électeurs de Droite à voter pour les socialistes en cas de confrontation avec les frontistes.
Ce front républicain est à géométrie variable, car certains socialistes se sont parfois désistés à appeler à voter pour un candidat de gauche, quand la situation se présentait à eux. Mais, la réponse pour Claude Bartolone, président socialiste de l’Assemblée nationale, reste le « rassemblement des forces de gauche face à la montée du FN ». Dans un communiqué, ce dernier a expliqué que « à quelques semaines des élections départementales, ce scrutin doit sonner comme le signal du rassemblement. La gauche n’a pas vocation à être le spectateur ou le commentateur de la marche de l’extrême droite vers le pouvoir ».
Raison pour laquelle, « la gauche et les écologistes doivent se retrouver sous la même bannière pour défendre nos territoires et affirmer notre volonté de combattre le chômage et la désespérance sociale d’un certain nombre de nos compatriotes ».
Un discours qui ne passe plus depuis la victoire de François Hollande, en 2012. Ce dernier a laissé les écologistes (présents dans le premier gouvernement Ayrault) dépités face aux promesses de campagne. Tout comme les nombreux partis à Gauche qui avaient appelés à voter pour lui. Les prochaines élections devraient être scrutés à la loupe par les partis traditionnels, qui espèrent tirer leur épingle du jeu face au Front National.
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