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Budget 2025 : la bataille parlementaire débute
10 septembre 2024
Le président de la commission des Finances de l’Assemblé, Éric Coquerel, a dit ne pas craindre un blocage budgétaire, ou « shutdown » car « il y a quand même pas mal de mesures dans la Constitution qui permettent de l’éviter ».
Alors que la bataille du budget 2025 de l’État a démarré le 9 septembre à l’Assemblée, la gauche affiche ses ambitions. « Je souhaite qu’on arrive à transformer totalement ce budget. C’est possible », a déclaré le député LFI-NFP Éric Coquerel sur Franceinfo.
Les parlementaires vont débattre d’une copie préparée par l’ex-premier ministre Gabriel Attal. Un texte déjà rejeté par le président de la commission des Finances de l’Assemblée, qui a auditionné le 9 septembre les ministres démissionnaires de l’Économie Bruno Le Maire et des Comptes publics Thomas Cazenave.
Éric Coquerel dit assumer vouloir « transformer (le texte) dans le sens de ce que nous proposons du côté du Nouveau front populaire ».
Il a assuré que « le déficit du pays n’est pas dû à une augmentation des dépenses publiques mais à une baisse des recettes », Éric Coquerel a évoqué « trois pistes pour faire rentrer des recettes ».
D’une part « faire en sorte de mieux payer les revenus du travail, c’est-à-dire d’augmenter les salaires », avec le smic à 1600 euros et la hausse du point d’indice des fonctionnaires.
« Si vous augmentez les salaires, vous avez plus de cotisations et plus de rentrées fiscales », a souligné le député de Seine-Saint-Denis.
Le NFP propose également « une plus grande justice fiscale, c’est-à-dire revenir sur tous les cadeaux qui ont été faits au capital », comme la suppression de l’ISF ou la « flat tax ». Et enfin « arrêter avec des dépenses fiscales inutiles, dont par exemple certains cadeaux aux entreprises ».
« Il y a des aides aux entreprises qui partent en dividendes. Ce n’est pas normal », a-t-il déploré. Au total, Éric Coquerel a mentionné des « gisements de plusieurs milliards d’euros qui pourraient rapporter 50 milliards par an ».
Par ailleurs, il ne craint pas que la France se retrouve, faute de majorité, sans budget au 1er janvier 2025. « Il y a quand même pas mal de mesures dans la Constitution qui permettent de l’éviter », a assuré Éric Coquerel, disant ne pas souhaiter « qu’on en arrive là ».
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