
Lo monde zordi lé pi parèye sèk yèr ! lo monde la shanjé !
20 mé, sanmI rèss in monde pou rokonstruir. Mézami, ni vé ni vé pa, lo monde la shanjé. Li sar pi zamé konm lo monde nou la konu dann passé. Dovan in (…)
La demande sera examinée le 17 septembre
13 septembre 2024
La demande de destitution d’Emmanuel Macron a été déposée par les députés LFI, et sera le 17 septembre matin à l’ordre du jour du bureau de l’Assemblée nationale, où la gauche est en majorité et déjà sous la pression des Insoumis.
Convoqué le 17 septembre à 9H30, le bureau de l’Assemblée, principale instance exécutive de la chambre, doit examiner en fin de réunion "la recevabilité de la proposition de résolution" signée par les 72 députés LFI, ainsi qu’une petite dizaine d’autres élus rattachés aux groupes écologiste et communiste.
Cette étape sera un test pour le Nouveau Front populaire, en position de force depuis juillet avec 12 des 22 membres dudit bureau. Un nombre de membre assez important pour passer ce premier cap, à condition que pas une voix ne manque.
Clémence Guetté, vice-présidente de l’Assemblée et membre du bureau, a déclaré sur X : "Votez la recevabilité, ne balayez pas la volonté du peuple". De son côté, la cheffe des députés LFI, Mathilde Panot, a indiqué sur le même réseau social : "voter contre la recevabilité, c’est s’opposer au débat", estimant que "la dignité du Parlement est en jeu".
Des messages postés afin de faire presse sur leurs alliés de gauche, après que plusieurs personnalités dont l’ex-président socialiste, François Hollande, et la patronne des écologistes, Marine Tondelier, ont exprimé publiquement leurs réticences sur cette procédure de destitution. D’ailleurs, le Parti socialiste a décider de ne pas s’y associer.
En cas de demande acceptée, le texte serait transmis à la commission des Lois. Certains de ses membres, contactés par l’Agence France Presse, se demandent si le sujet sera à l’agenda tant que l’Assemblée ne siège pas.
Actuellement, la reprise des travaux est prévue le 1er octobre, sauf si Emmanuel Macron ne convoque une session extraordinaire fin septembre. Hypothèse suspendue à la nomination du gouvernement de Michel Barnier, auquel la gauche a déjà promis d’opposer une motion de censure.
I rèss in monde pou rokonstruir. Mézami, ni vé ni vé pa, lo monde la shanjé. Li sar pi zamé konm lo monde nou la konu dann passé. Dovan in (…)
À La Réunion, la crise du logement touche profondément la population. Selon le rapport 2025 de la Fondation Abbé Pierre, près de 200 000 (…)
Comment des initiatives locales transforment les défis environnementaux en opportunités pour la stabilité et la prospérité
Le pape Léon XIV a marqué le début de son pontificat en critiquant vivement les excès du capitalisme lors de sa messe inaugurale au Vatican. (…)
Le tribunal administratif de Saint-Denis a débouté, le 14 mai 2025, le collectif « Protège nout savane » et 5 requérants de leur demande de (…)
La grève des taxis qui paralyse aujourd’hui La Réunion est bien plus qu’un simple mouvement social. Elle est le symptôme d’un coma circulatoire (…)
« Ne soyez jamais esclaves de l’argent » « Dans une société actuellement dominée par la quête de l’argent, qui crée de la misère, de (…)
La Réunion est en première ligne du réchauffement climatique. Le dernier été 2024-2025 vient de battre tous les records de chaleur enregistrés (…)
La vie chère est une réalité à La Réunion pour de trop nombreuses familles. Le logement est une dépense contrainte qui pèse sur les budgets.
Bonpé d’ moun i koné zistoir-la : i di konmsa, in zour, in marmay Morisien té vé aprand1 Langlé son kamarad. Alors, li trouv son kamarad, li di : (…)
Malgré un cyclone, la saison des pluies accuse un déficit de 28% par rapport à la moyenne. Pour que personne ne soit privé d’eau ces prochains (…)
Nous venons d’apprendre que la tentative honteuse d’Olivier Hoarau de faire voter par le conseil municipal la protection fonctionnelle en sa (…)