
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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Selon la prévision, plus de 400 000 tonnes de cannes devaient être coupées
25 juillet 2024, par
A La Réunion, la production de cannes à sucre a fortement baissé depuis la suppression du quota sucrier et du prix garanti par l’Union européenne. Cela s’explique notamment par une diminution de nombre de planteurs et des superficies plantées en cannes. En Guadeloupe, la campagne sucrière 2024 a été catastrophique. L’objectif était de couper 450 000 tonnes. A peine 260 000 tonnes ont été récoltées.
La campagne sucrière s’est conclue prématurément en Guadeloupe le 20 juillet dernier à l’initiative de l’Interprofession. Au moment de la prise de décision, 265000 tonnes de cannes avaient été récoltées pour une prévision de 450000 tonnes. Il manquait donc 200000 tonnes à récolter.
La campagne sucrière a commencé avec plusieurs semaines de retard en raison de négociations difficiles sur le prix de canne à sucre. Elle a été perturbée par une saison des pluies plus précoce que habituellement. Ce climat a eu des conséquences.
Le sucre extrait est faible : 55 kilos par tonne de canne. C’est un rendement inférieur de 41 % à la moyenne, a indiqué le directeur de l’usine sucrière de Gardel, qui traite toutes les cannes de la Guadeloupe « continentale ».
La seconde usine se situe dans l’île de Marie-Galante. Les planteurs de cette île ont livré 50000 tonnes alors que 62000 tonnes étaient prévues. La richesse en sucre a également diminué.
Ce résultat fait courir le risque de pertes « abyssales ».
M.M.
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