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Message de la Commission européenne aux planteurs mauriciens
8 septembre 2008
Vendredi matin, la Commissaire européenne à l’Agriculture, Mariann Fischer Boel, a estimé que l’avenir des petits planteurs se trouve dans une augmentation de leur productivité et non dans une compensation quelconque face à la hausse des prix des fertilisants et autres qu’ils subissent depuis quelque temps déjà. Ce ce qu’elle a déclaré à des planteurs mauriciens à Gros-Bois, où elle a visité des plantations de canne à sucre et de pomme de terre appartenant à des petits planteurs et où le projet d’épierrage et de regroupement est en cours.
L’avenir des petits agriculteurs se trouve dans une augmentation de leur productivité et non dans une compensation quelconque face à la hausse des prix des fertilisants qu’ils subissent depuis quelque temps, a déclaré, vendredi, la commissaire européenne à l’Agriculture, Mariann Fischer Boel, en visite à Maurice jeudi et vendredi derniers.
La commissaire européenne, qui visitait des plantations de canne à sucre et de pomme de terre à Gros Bois, dans le Sud de l’île où un projet d’épierrage et de regroupement des petits agriculteurs est en cours, a dit à ces planteurs mauriciens qu’ils ne sont pas les seuls à subir la hausse des prix et que les agriculteurs du monde entier se trouvent dans la même situation.
Promotion des regroupements
Selon elle, il faut s’occuper de ce problème et ne pas verser des compensations. « Il faut augmenter votre rendement et c’est ça qui représente votre avenir et celui de l’agriculture », a-t-elle insisté, ajoutant avoir constaté que Maurice utilise à bon escient l’argent qui lui a été avancé dans le cadre de la réforme de l’industrie sucrière.
Parlant de sa propre expérience, la commissaire européenne a dit avoir vu et connu des situations semblables où les petits producteurs gagnaient très peu de leur production, parce qu’il leur est difficile de concurrencer les grands commerçants.
« Nous les encourageons à se regrouper face aux commerçants. Au cas contraire, ils vont perdre parce qu¹ils ne sont pas assez forts pour y faire face. Vous aussi, vous devez vous regrouper, c¹est le meilleur conseil pour obtenir un prix décent pour vos produits, même s’il ne résout pas tous vos problèmes », a déclaré la représentante de la Commission européenne.
Auparavant, elle s’est intéressée de près au projet de regroupement des petits planteurs en cours dans l’île en vue de baisser leurs coûts de production et d’augmenter leur productivité.
Moderniser mais pas compenser
Elle a dit être consciente du défi que représente pour les producteurs sucriers la décision de baisser les prix du sucre sur le marché européen de l’ordre de 39%.
« La décision était cependant inévitable vue que les prix offerts aux producteurs européens étaient trois fois supérieures à ceux pratiqués au niveau du marché mondial », a-t-elle fait remarquer.
Elle a dit que l’Union européenne a prévu des mesures d’accompagnement en vue de rationaliser et de moderniser le secteur sucrier, dans le but d’aider les pays d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique (ACP) à traverser la période de transition. La représentante de la Commission européenne a souligné que ces aides pour la restructuration « ne sont pas des compensations ». Elle a d’ailleurs pu vérifier sur le terrain que la modernisation du secteur sucrier est en cours à Maurice, avec la visite de l’usine de Savannah, un exemple de la nouvelle industrie de la canne.
Un fonds pour soutenir la sécurité alimentaire
La sécurité alimentaire a été au menu des discussions entre Marianne Fischer-Boel et le gouvernement mauricien. « Nous avons une enveloppe d’un milliard d’euros pour veiller à la sécurité alimentaire dans les pays en voie de développement. Pour que Maurice puisse être éligible à ce programme, il faudrait qu’elle joue la carte de petit État insulaire et de sa vulnérabilité en tant que tel », a fait ressortir Marianne Fischer-Boel, lors d’une conférence de presse en compagnie du ministre de l’Agro-industrie, Arvin Boolell, à l’hôtel Labourdonnais.
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