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La canne c’est le sucre, mais pas seulement -55-
28 février 2015, par
On pourra lire ci-dessous un certain nombre d’informations relatives à la culture de la canne à sucre et à l’exploitation des produits dérivés dans différentes régions. De extraits ont été reproduits afin de nourrir notre propre réflexion sur l’avenir de la canne chez nous et dans les pays environnants.
Dans la revue Engineering News, Francis Johnson, chercheur principal de l’Institut pour l’environnement de Stockholm (SEI), évoque les pratiques de gestion contrastées de l’industrie de la canne à sucre dans les pays en développement. La plupart des pays qui disposent d’exploitations de canne à sucre sont confrontés à des problèmes environnementaux similaires : pénurie d’eau, écoulement des nutriments, perte de biodiversité, lixiviation chimique, pollution de l’air, etc. Selon Johnson, la manière dont les pays élaborent et appliquent la législation associée à la culture de la canne à sucre déterminera la viabilité de la filière.
En Afrique du Sud, par exemple, la pratique répandue du brûlage de la canne à sucre avant la récolte est à l’origine de la pollution atmosphérique et de la perte de biomasse (déchets de cannes), alors que les résidus de récolte de canne pourraient être brûlés afin de produire de l’électricité et du chauffage.
A Maurice, pays beaucoup plus petit, toutefois, l’adoption de pratiques modernes de culture de la canne à sucre a permis d’atténuer les effets environnementaux néfastes de l’industrie.
Les idées de projets de partenariats publics-privés en vue d’améliorer la filière foisonnent et sont évidentes : cultiver la canne à sucre où la terre le permet naturellement, aider la filière à atteindre les normes requises, faciliter la diffusion de données et l’exécution des décisions, examiner la question de la responsabilité pour les dommages environnementaux, développer et commercialiser des sous-produits à valeur ajoutée, etc.
La transformation graduelle d’une exploitation de monoculture de la canne à sucre en un système agraire intégré et diversifié est décrite ici en se servant du cas d’une petite exploitation familiale de la province de Negros Occidental aux Philippines. En 1984, la famille Oray a décidé de changer l’orientation de l’exploitation pour assurer la sécurité alimentaire de la famille, mieux contrôler le processus de production dans son ensemble et mieux exploiter les ressources disponibles par un recyclage des éléments nutritifs du sol. La transformation a nécessité de convertir à la riziculture des champs consacrés auparavant à la culture intensive de la canne à sucre, de travailler le profil du sol pour améliorer la gestion de l’eau, de vendre directement aux voisins pour éviter de passer par des intermédiaires, de planter du maïs et des légumes pour la consommation du foyer, d’élever quelques animaux de basse-cour – une truie, des porcelets et des poules – ainsi qu’un buffle d’eau pour le trait, d’étendre la surface de l’exploitation de 1,3 à 3,5 hectares, d’introduire une rotation des cultures basée sur les légumineuses – arachide, soja, haricot mongo et niébé – et sur l’agroforesterie et enfin d’adopter des stratégies de contrôle biologique des ravageurs : limiter les dégâts des escargots dans les rizières en plantant du taro et en dispersant les balles de riz et éloigner les rats des semences de riz en se servant du manioc comme appât. Ces changements, et bien d’autres, ont permis à la famille de répondre à ses besoins et ont rendu ses conditions de vie moins aléatoires qu’elles ne l’étaient auparavant.
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