
Lotonomi alimantèr ? Dann in plan rényoné pou noute dévlopman.
17 juin, parMézami, mon bann dalon, Késtyonn dévlopman, zot i koné kossa noute parti i vé pou la Rényon é zot i koné kozman lo kozman noute bann kamarade kan (…)
Un objectif : augmenter le revenu des planteurs
15 mai, par
L’exemple de l’industrie sucrière européenne montre que la norme est de confier la responsabilité de la stratégie industrielle aux agriculteurs fournisseurs de la matière première. C’est sur la base d’une telle gouvernance que la fin des quotas sucrier a été décidées, sachant que l’avenir des agriculteurs dépend de la stratégie industrielle. Il appartient aux états généraux de la cane à sucre à La Réunion de mettre cette question sur la table et d’œuvrer pour l’application à La Réunion de cette norme européenne qui permettra de sortir la filière de la crise causée par la stratégie de Tereos à La Réunion depuis 2017.
Quand en 2013, le Conseil des ministres de l‘UE décide de supprimer les quotas sucriers et le prix d’intervention au-dessus du cours mondial, les dirigeants européens savent que l’avenir des agriculteurs qui fournissent les usines sucrières dépendra de la stratégie des propriétaires de ces usines.
En Europe, les planteurs propriétaires des usines décident de la stratégie
Mais en Europe, la situation est radicalement différente de La Réunion. Les plus importants producteurs de sucre (le Français Tereos et les Allemands Nord Zücker et Süd zucker) sont à la base des coopératives de planteurs de betteraves qui sont propriétaires des usines sucrières. Ce sont donc les agriculteurs fournisseurs de l seule matière première des usines sont propriétaires de l’outil de transformation et décident de la stratégie de l’industriel. Logiquement, cette stratégie a pour priorité de soutenir les intérêts des planteurs de betteraves.
A La Réunion, l’industrie sucrière a été créée par des planteurs qui avaient besoin de valoriser leurs cannes à sucre en produits transformé, tels que le sucre et les alcools. Jusqu’aux accords de 1969, le mode de paiement de la canne reflétait cette situation : le planteur était propriétaire de deux tiers des produits de la canne transformée, la rémunération de l’industriel était d’un tiers de la valeur des produits des cannes transformées. L’industriel avait intérêt à être planteurs de canes.
A La Réunion, les planteurs exclus d la stratégie
Les accords de 1969 marquèrent une rupture entre capital foncier et industriel : le planteur devenait un fournisseur de matière première qu’il vendait à l’industriel. Après la transaction, l’industriel devient propriétaire de tous les produits des cannes qu’il transforme. Dan la système capitaliste, l’industriel a comme stratégie d’acheter sa matière première le moins cher pour maximiser ses profits. Cette stratégie met en péril la situation des fournisseurs de matière première, les planteurs de cannes çà sucre à La Réunion.si la gouvernance de la filière à La Réunion était la même qu’en Europe, la stratégie ne pourrait être de pressurer les fouisseurs de matière première mais de maximiser leurs profits. Pour cela, les planteurs chercheraient à maximiser les recettes liées à la vente des produits de l’industrie de transformation.
L’objectif est d’augmenter le revenu des planteurs, sous la forme d’un partage des bénéfices ou d’une augmentation du prix de la matière première.
Appliquons une norme européenne
L’exemple de l’industrie sucrière européenne montre que la norme est de confier la responsabilité de la stratégie industrielle aux agriculteurs fournisseurs de la matière première. C’est sur la base d’une telle gouvernance que la fin des quotas sucrier a été décidées, sachant que l’avenir des agriculteurs dépend de la stratégie industrielle. Il appartient aux états généraux de la cane à sucre à La Réunion de mettre cette question sur la table et d’œuvrer pour l’application à La Réunion de cette norme européenne qui permettra de sortir la filière de la crise causée par la stratégie de Teeos à La Réunion depuis 2017.
M.M.
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