
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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Mobilisation contre l’intransigeance de Tereos
11 juillet 2017
Dans un communiqué diffusé hier, l’Intersyndicale CGTR-CFDT-FO de la Chambre d’Agriculture affirme sa solidarité avec les planteurs et alarment sur les conséquences de l’évolution du mode de financement de leur institution.
Depuis le 24 mai 2017, les planteurs de cannes sont entrés en conflit avec Tereos pour une augmentation de 6 euros du prix de la tonne de canne.
Grâce à leur mobilisation et à leurs actions ils sont parvenus à ce jour à obliger Tereos à concéder une augmentation de 2,50 euros sur le prix de référence au lieu des 49 centimes proposés au départ des négociations, mais le compte n’y est toujours pas. Les planteurs ont raison de vouloir faire payer la multinationale Tereos qui tait des millions de profits grâce à leur courage et leur sueur et à ceux des ouvriers. Face à la baisse de leurs revenus les planteurs ont pris conscience de leurs intérêts et ont réagi.
Les salariés de la Chambre d’Agriculture apportent leur soutien aux planteurs. Les planteurs réagissent face à la bais-se de leurs revenus et à la menace qui pèsent sur leur profession. Le mouvement des planteurs interpelle également les salariés du monde agricole dont l’avenir se trouve également menacé, en l’occurrence ceux de la Chambre d’Agriculture.
En effet, la Chambre. d’Agriculture est entrée dans un champ concurrentiel et se retrouve de plus en plus dépouillée de ses missions au profit de sociétés privées, voire même de certaines collectivités. La Chambre perd son rôle central d’accompagnement du développement et de l’encadrement agricoles relevant du service public.
Le financement des postes des agents de la Chambre d‘Agriculture par les fonds publics est désormais subordonné à des projets agricoles cohérents, sous condition de prestations payantes supportées par des agriculteurs dont certains sont déjà en difficulté.
A ce jour maigre’ les efforts effectués par les salariés à la demande des financeurs et de la direction de la Chambre, plusieurs postes ne » sont pas garantis d’être financés par le Conseil départemental qui gère le FEADER.
Par manque de financement ou sous ce prétexte, depuis plus de quinze ans, les effectifs à. la Chambre n’ont cessé de baisser.
Les salariés demandent des garanties sur les financements des postes à la Chambre d’Agriculture par les fonds publics, permettant d’assurer un service continu et de qualité à l’ensemble des agriculteurs. De même, ils ne veulent pas voir leurs conditions de travail et de vie se dégrader.
S’il ne peut y avoir d’agriculture sans canne à sucre à La Réunion, il ne peut pas non plus y avoir d’agriculture sans la Chambre d’Agrtculture et ses salariés
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