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12 mai, par
La formule de calcul déterminant le prix de la canne achetée par l’industriel est une des principales explications à la diminution du nombre des planteurs et à la baisse des surfaces plantées en cannes responsables de l’effondrement de la production. Déterminer un moyen de payer justement le travail des planteurs doit être une priorités des États généraux de la canne à sucre à La Réunion.
Le calcul du prix de la canne à sucre payé par Tereos aux planteurs de La Réunion repose sur une formule de calcul vieille de 40 ans, qui se base en priorité sur la richesse en sucre des cannes livrées. Or depuis la mise en œuvre de cette formule, plusieurs facteurs structurels ont changé. Les planteurs sont pénalisés, ce qui permet à Tereos d’acheter moins cher sa matière première.
Tout d’abord, la coupe qui était alors quasiment que manuelle a été mécanisée. Les coupeuses de cannes longues diminuent la richesse en sucre. Les variétés ont évolué. On nous oblige de planter de la canne plus riche en fibre pour produire plus d’énergie, mais le planteur est ensuite pénalisé par un taux de fibre trop important.
Le process industriel a évolué. Le taux d’extraction du sucre est meilleur, l’écart technique diminuant le prix de la canne est-il encore justifié ? Le taux de richesse standard est de 13,8, soit 138 kilos de sucre par tonne de cannes livrées. Si les chargements d’un planteur sont en dessous, il est pénalisé.
Depuis 2014, cette valeur n’a pas été atteinte et a été dépassé à l’échelle de l’île en 2014 (13,9). La moyenne décennales est de 13,35. Cela signifie une pénalité et des revenus en moins pour les planteurs. Pour l’industriel, la formule serait équitable car elle récompenserait les planteurs qui travaillent pour obtenir une richesse supérieure à 13,8.
Le paiement en fonction de la richesse est la seule contribution de Tereos aux revenus de ses uniques fournisseurs de matière première à La Réunion. Le paiement se base sur un seul produit de la canne, le sucre, alors que de nombreuses autres valorisations sont possibles.
Cela garantit à Tereos de payer toujours moins cher sa matière première alors que les planteurs doivent faire face à la hausse du coût des intrants et à celle du coût de production causée par l’évolution des normes.la formule de calcul déterminant le prix de la canne achetée par l’industriel est une des principales explications à la diminution du nombre des planteurs et à la baisse des surfaces plantées en cannes responsables de l’effondrement de la production. Déterminer un moyen de payer justement le travail des planteurs doit être une priorités des États généraux de la canne à sucre à La Réunion.
M.M.
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