
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
Les « fournisseurs compétitifs » doivent avoir des débouchés
11 avril 2016
Jeudi et vendredi, l’OCDE accueillait son Comité de l’Agriculture, réunion des ministres de cette organisation économique regroupant les pays les plus riches de la planète. Le Comité de l’Agriculture considère que des politiques permettant aux plus compétitifs d’écouler leurs produits est un moyen d’atteindre le développement durable. C’est une orientation qui va à l’encontre de la demande de soutien de la filière canne par des fonds publics pour faire face à la concurrence mondiale. La France et les pays de l’Union européenne font partie de cette organisation.
Réuni les 7 et 8 avril dernier, le Comité de l’Agriculture de l’OCDE a adopté une déclaration dans laquelle il prend d’abord acte de plusieurs décisions. Les ministres de l’Agriculture notent tout d’abord que « la 10e Conférence ministérielle de l’OMC a confirmé l’importance de l’agriculture et de l’alimentation dans les relations commerciales internationales, s’est attaquée à l’une des formes d’action qui provoquent le plus de distorsions en éliminant des subventions à l’exportation, et a imposé des règles aux autres mesures relatives aux exportations, mais elle a laissé d’autres problèmes sans solution ».
Il constate également que « l’Accord de Paris sur le changement climatique comporte l’ambition de limiter le réchauffement mondial très en-deçà de 2 °C et de poursuivre l’action menée pour le contenir à 1.5 °C, tout en précisant qu’il faudrait y arriver « d’une manière qui ne menace pas la production alimentaire » ». Les ministres de l’Agriculture de l’OCDE prennent également acte des nouveaux objectifs de développement durable adoptés par l’Assemblée générale des Nations Unies le 25 septembre 2015 qui « appellent, en particulier, à éliminer la faim, à assurer la sécurité alimentaire, à améliorer la nutrition et à promouvoir une amélioration durable de la productivité agricole, d’ici 2030 ».
Ils soulignent aussi que « les gouvernements ont appelé dans de multiples cadres – G20, Organisation de coopération économique Asie-Pacifique (APEC), Association des nations d’Asie du Sud-Est (ASEAN), Expo Milan 2015, Forum mondial sur l’agriculture et l’alimentation 2016 (GFFA) de Berlin, entre autres – à braquer de nouveau les projecteurs sur la croissance durable de la productivité et sur la réduction des pertes et du gaspillage alimentaires ».
Les ministres de l’Agriculture des pays les plus riches du monde conviennent de plusieurs principes, « pour garantir qu’ils soient pris en compte dans une approche intégrée des politiques agricole et alimentaire ». Ils indiquent en particulier que les politiques doivent « concorder avec les mesures visant l’économie dans son ensemble, notamment dans les domaines de la croissance, du développement, des échanges, de l’investissement, de l’emploi, du bien-être et de l’environnement ». « Des efforts spécifiques sont nécessaires, en particulier dans les pays en développement, pour offrir au secteur des conditions plus propices (de la santé à l’éducation en passant par les infrastructures physiques et les droits fonciers), pour encourager des investissements publics et privés indispensables et pour permettre aux exploitations de toute taille, y compris aux petites, de choisir la trajectoire de croissance qui leur offre le plus de perspectives ».
Les politiques doivent également « concourir à un meilleur fonctionnement du système commercial multilatéral, qui sera propice à une plus forte intégration du secteur, de manière à ce que les fournisseurs compétitifs soient à même d’essayer de tirer parti des débouchés commerciaux dans des conditions équitables, transparentes, conformes aux mécanismes du marché et non discriminatoires ». Et de souligner que « cela permettra au secteur de mettre les bienfaits des échanges au service d’une croissance économique inclusive, du développement durable et de la sécurité alimentaire mondiale, tout en respectant les principes de la conduite responsable des entreprises ».
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Messages
11 avril 2016, 11:56, par dudule
Je pense que l’expression concurrence libre et non faussée est fausse. lol.
Deux exemples locaux parmi d’autres/ La viande importée des pays d’Afrique coute moins cher que la viande produite localement. Certains légumes sont aussi moins chers. Pourquoi ? Tout simplement le coût du travail ,et le coût de production est largement moins élevée.
Donc dir que la concurrence n’est pas faussée est une erreur manifeste.
On peux dire la m^me chose au niveau national, entre les produits fabriqués en France et dans certains pays qu’ils soient dans l’Europe ou pas.
ce qu’il faut c’est abrogé le traité Européen. mais, en 2005, la majorité des parlementaires ont volé un référendum aux Français.