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Suite aux dégâts de Gaël et de Jade
18 septembre 2009
Les dégâts provoqués par le passage des cyclones Gaël et Jade, en février et en avril dernier, n’ont toujours pas été indemnisés. Agacés par cette situation, plus de 80 maraîchers de la CGPER se sont rendus hier devant la Direction de l’agriculture et de la forêt (DAF), à Saint-Denis. Ils demandent des comptes sur l’état d’avancement des dossiers. N’ayant pas obtenu d’éclaircissements, les agriculteurs donnent aux services de l’Etat jusqu’au lundi 21 septembre pour leur apporter une réponse concrète. À défaut, « nous durcirons le mouvement », préviennent-ils.
C’est vers 9 heures 30 hier que les agriculteurs se sont réunis devant les portes de la DAF. « Depuis 9 mois, les maraîchers attendent les indemnisations. Ils ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts. Nous avons donc décidé de passer à l’action », explique Fabrice Hoareau, vice-président de la CGPER.
En effet, lors du passage des cyclones Gaël et Jade en début d’année, ces derniers ont subi des pertes importantes. À lui seul, le secteur du maraîchage déplore 16 millions de dégâts sur les 21 millions d’euros de pertes recensées pour l’ensemble des activités agricoles.
Malgré la reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle, le 25 juin dernier, « les maraîchers n’ont pas reçu un centime », regrette le représentant du syndicat agricole. « Ce n’est pas normal. Nous voulons aujourd’hui des réponses », ajoute-t-il.
C’est pour obtenir ces réponses que les manifestants ont demandé à rencontrer Michel Sinoir, directeur de la DAF. Une demande acceptée par le responsable administratif qui a reçu une délégation. Lors de la brève entrevue, Michel Sinoir a assuré avoir « effectué toutes les démarches » pour que les maraîchers soient indemnisés « au plus vite ». « Mais les dossiers ne sont pas encore passés en commission ministérielle », a-t-il indiqué. Il a néanmoins annoncé qu’il écrirait au ministère de l’Agriculture pour obtenir des réponses sur l’état d’avancement des dossiers.
« Si aucune réponse n’est apportée d’ici lundi (ndlr : 21 septembre 2009), nous durcirons le mouvement », prévient Fabrice Hoareau. La première action serait une manifestation devant la Préfecture. « Ensuite nous aviserons », ajoute le représentant de la CGPER.
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