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Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE
23 novembre 2005
L’impact des changements climatiques et les conséquences de la mondialisation des marchés : deux sujets à l’ordre du jour de la session de l’Assemblée parlementaire paritaire ACP-UE. Un communiqué du secrétariat parlementaire de Paul Vergès, 3ème vice-président de l’Assemblée, rend compte des débats. On en lira ci-après la teneur. Le député réunionnais est intervenu notamment sur la question de la réforme du protocole sucre.
Paul Vergès participe actuellement à la 10ème session de l’Assemblée parlementaire paritaire ACP-Union européenne, réunie à Edimbourg (Ecosse). Paul Vergès est 3ème vice-président de cette Assemblée.
Composée de 77 parlementaires du Parlement européen et d’autant de représentants des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, elle se réunit deux fois par an pour discuter des questions liées à l’Accord de Cotonou et de l’ensemble des problèmes qui concernent les pays en voie de développement.
Cette session en Écosse est dominée par la question du changement climatique et par celle de l’avenir des ressources agricoles et minières des pays ACP dans le contexte des négociations de l’OMC.
En effet, la question du changement climatique et des catastrophes naturelles est devenue centrale aussi bien au Parlement européen que dans les discussions avec les pays du Sud. La Présidence britannique du Conseil européen en a fait un enjeu prioritaire comme l’ont rappelé le représentant du Conseil et le Premier ministre d’Écosse.
Sur initiative de Paul Vergès, l’Assemblée parlementaire avait pris lors de la dernière session la décision d’un rapport sur les “causes et les conséquences des catastrophes naturelles” notamment liées au changement climatique.
Ce rapport, confié au représentant des Seychelles, met en exergue les impacts du réchauffement planétaire sur le développement des pays en voie de développement et notamment sur celui des petits États insulaires. Il tire les conséquences des travaux du GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’évolution du climat) et notamment des recommandations de son président, M. Rajendra Pachauri qui à l’invitation du Président Vergès avait été auditionné à Bruxelles dans le cadre de l’élaboration de ce rapport. Ce rapport adopté par l’Assemblée parlementaire ACP-UE, viendra renforcer l’avis de Paul Vergès sur le même thème, récemment approuvé à l’unanimité par la Commission du développement du Parlement européen.
"Ne pas accepter l’inacceptable"
S’agissant des accords commerciaux et de l’avenir des productions agricoles, les débats ont été dominés par les conséquences de la réforme du règlement sucrier ressentie comme un drame par l’ensemble des pays ACP producteurs de sucre. Selon la Coprésidente de l’Assemblée, représentante de la Jamaïque, cette réforme est "un drame qui va détruire des vies et des économies". Le représentant des îles Fidji a relayé l’inquiétude des petites îles dont l’économie est souvent tributaire d’une seule production.
Le président de la Région Réunion est intervenu pour attirer l’attention des membres sur la gravité de la situation, aussi bien pour les pays ACP que pour les RUP et notamment La Réunion. Il a surtout insisté sur l’extrême urgence des initiatives à prendre à la veille de la réunion du Conseil des ministres de l’Agriculture de l’Union à Bruxelles. Sur sa proposition, l’Assemblée parlementaire, représentée par ses deux Coprésidentes, a décidé d’adresser sans délai un courrier au Conseil pour exhorter, dans ce qui apparaît être un "dernier appel", le Conseil des ministres de l’Agriculture à "ne pas accepter l’inacceptable".
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